Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 18:12

Chasteté, quand le virtuel devient réalité

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Paul rêvait d’avoir une Maîtresse qui gérerait les clés de sa cage de chasteté. Dans ses fantasmes les plus fous, cette Maîtresse devenait son épouse et une reine gynarchique avec laquelle il vivrait une vie paisible ponctuée de fessée et petits recadrages. Mais hélas comme chacun sait, entre le fantasme et la réalité même si certains sont prêts à passer du virtuel au réel, les dominatrices sont rares.

Lorsqu’il a appris que le site www.fessestivites.com permettait aux célibataires désireux de vivre les plaisirs de la cage de chasteté en se faisant encager et gérer à distance, Paul s’est mis à étudier attentivement ce qui était proposé comme une alternative à ses fantasmes.

Pour une vingtaine d’euro, le site ABCplaisir proposait d’adresser par la poste un cadenas à combinaisons sans la combinaison avec un dispositif permettant de masquer les chiffres pour s’encager seul puis d’adresser un certains nombre de jours plus tard la combinaison par email.

Qu’est-ce que je risque à essayer pensa Paul, et puis vingt euro si je me fais escroquer, je n’en mourrai pas.

Il commanda donc son cadenas sans combinaison le mardi 5 juin et choisit de s’auto encager quelques jours en commandant sa libération par email pour le 14 juin. Sa commande fut traitée dans des délais si brefs qu’il eut le 7 juin l’agréable surprise de trouver une enveloppe cartonnée dans sa boite à lettre. Fou d’excitation, il dut prendre une douche presque froide pour parvenir à encager son Popaul refusant de baisser le garde.

Le sexe enfin logé dans son tube et le cadenas posé, il retira le dispositif masquant les chiffres et se trouva encagé. Pour fêter ça, il s’ouvrit une bouteille de champagne dont il consomma avec excès une bonne partie en surfant sur le site fessesivites.com ce qui généra à certains moments de sérieuses crise du logement en sa cage de chasteté. Vers onze heure, il s’endormit comme un bébé mais sa nuit fut perturbée par des songes érotiques fous et quelques irritations et douleurs dues à des érections monumentales. Fessestivités.com lui avait conseillé de passer une pommade avant de se coucher mais entre ses délires et le champagne….

« A 40 ans je me fais punir par un site » ! Pensa Paul en se traitant de fou.

Au petit matin, l’érection matinale le rendit fou d’excitation bien plus qu’à l’accoutumé. Sa première journée d’auto encagé mais pour la première fois sans clé de secours fut elle aussi diabolique. Le fait d’être réellement « piégé » décuplait ses songes coquins et ses sensations. En sortant de son travail, il se rendit à la pharmacie pour acheter la pommade conseillée par ABCplasir.com et suivit attentivement cette fois les conseils reçus avec son cadenas pour ne pas avoir des problèmes d’hygiène.

Pendant les deux jours et deux nuits qui suivirent, son excitation devenait grandissante au point qu’il se surprit à agiter ses fesses sur son fauteuil en surfant. « Je me prends pour une chatte en chaleur et devient fou » furent ses pensées. L’excitation grandissante, il se surprit à jouer avec les sensations détournées le quatrième jour en se pinçant les tétons et en se mettant presque honteux un petit jouet dans les fesses la Maîtresse de ses fantasmes les plus fous lui imposant des folies pour l’humilier. Peu enclin à dormir, Paul dévora quelques textes du site et s’abandonna sur le forum. Pris d’un impérieux besoin de parler, à son tour, il fit des confidences et partagea son expérience.

Ce coup de canif à sa pudeur allait changeait sa vie.

Une Maîtresse lui répondit, la discussion s’installa mais elle semblait douter qu’il ait commandé ce fameux cadenas proposé par le site. Ils parlèrent des fantasmeurs qui racontent parfois n’importe quoi mais pour Paul à la moralité sans reproche question franchise et droiture, ce fut presque une insulte. Prêt à tout pour la convaincre de son honnêteté, il lui proposa de faire des photos et de les lui adresser par email mais elle refusa, des photos de mecs montrant leur cage de chasteté, il y en a des millions. En lui ordonnant de faire une photo de son sexe encagé avec un papier indiquant « pour Maîtresse Dana » elle aurait la certitude que c’était bien lui sur la photo.

Qu’il réalise les clichés demandés et les lui adresse une demi-heure plus tard surprit cette femme célibataire prof de musique le jour et domina le soir sur le net. Dana fut émue et très excitée par ce que venait de faire Paul pour elle, même si au départ ce n’était que pour lui prouver qu’il ne mentait pas. Elle se piqua au jeu tout comme lui, c’est ainsi que pour la première fois de sa vie Paul montra à quelqu’un son sexe encagé via le tchat du site et sa webcam.

Félicité pour son courage par Dana, Paul eut beaucoup de mal à dormir tant ses pensées et songes érotiques l’excitaient. Tous les pores de sa peau devenaient des capteurs sensoriels. Il se voyait fessé et « contraint » de faire un cunnilingus à cette femme dont il imaginait les courbes délicieuses.

Le lendemain soir, ils se retrouvèrent sur le forum et se mirent à chatter. Qui des deux était le plus excité, Paul ne pouvait le deviner, mais il sentit bien que Maîtresse Dana s’intéressait à lui et se caressait négligemment en discutant avec lui. Lorsqu’elle lui demanda s’il accepterait de s’encager pour elle, Paul eut les larmes aux yeux de bonheur.

« Commande un autre cadenas mais n’ouvre pas le colis, tu t’encageras pour moi devant ta cam. Je veux cette fois que tu sois chaste 15 jours. Si tu réalises mes souhaits à la lettre, je te laisserai peut-être m’offrir un verre ».

Paul croyait rêver ! Son fantasme d’appartenance prenait vie ! Il commanda immédiatement le cadenas et lui adressa par email une copie du bon de commande donnant sans même y penser son adresse à une inconnue. Félicité pour son courage et son engagement, Paul devenait fou. Sa nuit fut la pire de toutes en termes de songes érotiques aussi fous les uns que les autres.

Grosse peur pour la combinaison

Assis devant son ordinateur, les yeux rivés sur l’écran de sa messagerie, Paul attendait désespérément la combinaison pour 21 heures.

21 heures 01, rien !

21 heures 02, rien !

L’angoisse montait proportionnellement à sa colère envers le site ABCplasir.com. Les secondes s’égrenaient lentement comme si c’étaient des minutes.

21 heures 03, l’email tant attendu arriva enfin. Partit à l’heure prévue, il avait mis trois minutes pour lui parvenir mais ces trois minutes furent angoissantes pour Paul s’imaginant en train de détruire le cadenas ou pire sa cage de chasteté.

Enfin « libre », il s’abandonna à l’onanisme avec un incommensurable plaisir. Si la semaine fut grisante en termes de sensations, à sa plus grande surprise sa jouissance ne fut pas fade bien loin de là mais très en dessous de l’intensité imaginée. Soulagé et sans cage de chasteté, Paul put enfin profiter d’une vraie nuit de sommeil sans érection intempestives ni besoin de se lever pour aller uriner.

L’emballage contenant son nouveau cadenas arriva dès le lendemain. Comme promis à la domina de ses rêves, il ne l’ouvrit pas et lui adressa un email lui proposant un rendez-vous sur le net. Par anticipation, il prit sa douche, fit un peu de ménage pour que sa webcam ne dévoile pas son petit côté « bordélique » de célibataire. Maîtresse Dana répondit présente au rendez-vous, c’est ainsi que Paul d’une nature assez pudique réalisa sa première exhibition par webcam.

Intégralement nu comme exigé par sa maîtresse, c’est devant sa webcam et une spectatrice émue qu’il ouvrit la boite contenant le cadenas et qu’il mit sa cage de chasteté sans tarder pour que son Popaul ne prenne pas trop d’ampleur puis qu’il referma le cadenas en live. Dana le félicita à nouveau et lui promis une surprise en lui demandant si elle pouvait lui adresser quelque chose par la poste. Surpris, il lui demanda comment elle avait fait pour avoir son nom et son adresse en doutant de la discrétion du site. Elle lui rappela qu’un soir, il lui avait adressé une copie du bon de commande pour lui prouver sa sincérité. Le document récapitulant la commande lui avait donné toutes ses coordonnées.

Prudente, Dana refusa qu’ils se parlent par téléphone, du moins pour l’instant car elle voulait d’abord s’assurer qu’il accepte d’être son soumis et de faire certaines choses. S’il acceptait de les réaliser, elle accepterait de le rencontrer et de prendre un verre avec lui. Pour cet instant de bonheur, Paul était prêt à faire des folies.

Deux jours plus tard, il reçut un email lui indiquant qu’elle lui avait adressé un petit colis sous la forme d’une grosse enveloppe avec une croix sur la fermeture et qu’il ne devrait pas l’ouvrir avant qu’elle ne lui ordonne. La boite à lettre pris soudain une grande importance aux yeux de Paul qui la scruta deux fois par jour. Elle arriva enfin le lundi, il pesta grandement après la poste pourtant innocente, les facteurs ne travaillant pas le dimanche. Le soir même, à nouveau les yeux rivés sur l’écran, il attendit avec impatience la réponse au message indiquant à sa maîtresse que le colis était arrivé.

Le rendez-vous « surprise » fut convenu pour 21 heures 30, Paul devrait être nu devant son ordinateur et attendre qu’elle le contacte. Histoire de le faire « mijoter » un peu, elle le laissa attendre 10 minutes avant de se connecter sur fessestivites.com et de lui proposer un tchat. Après les civilités d’usage et la webcam de Paul allumée dévoilant à Dana le torse nu de son soumis, elle lui ordonna d’ouvrir l’enveloppe, chose qu’il fit prestement pour ne pas dire à la sauvage tant il bouillait d’impatience.

Une culotte en satin !

L’enveloppe contenait une culotte de femme en satin. Il la remercia par principe sans comprendre ce qu’elle désirait.

« Je l’ai portée pour toi, c’est un cadeau que je te fais, met-la dans ta bouche » écrivit Dana.

Pour plaire à sa maîtresse Paul s’exécuta immédiatement en peinant un peu, pour la faire entrer entièrement.

« Bravo, maintenant lève-toi et fait moi voir ta cage de chasteté ».

Encore une fois, Paul s’exécuta face à sa webcam. Son excitation était telle, que sa verge tendue à rompre poussait la cage vers l’avant en étirant cruellement ses testicules.

« Tourne-toi et fais-moi voir tes fesses »

Paul s’exécuta très gêné. Ne sachant que faire de ses mains, il les posa derrière sa nuque et ne vit l’ordre suivant qu’après deux ou trois minutes. Troublé jusqu’au plus profond de son âme, il ne lui était pas venu à l’idée de tourner la tête pour regarder son écran.

« Tourne-toi, recule-toi et mets la culotte que tu as dans la bouche ».

L’idée de se féminiser n’était jamais venue à Paul. A la lecture de cet ordre, il se mit à rougir et resta stoïque.

« Je t’ai donné un ordre, ne me fais pas attendre ou tu seras puni »

Paul, maintenant rouge comme une écrevisse s’exécuta et enfila la culotte en se sentant ridicule.

« C’est bien, je suis fière de toi. J’ai bien senti que tu as fait un effort pour me plaire, tu seras récompensé vendredi soir si tu es libre. Assied-toi et discutons ».

Paul lui avoua sa grande gêne mais la remercia de lui avoir permis de vivre cette expérience. La discussion s’orienta sur le fait qu’un soumis doit faire ce que lui demande sa maîtresse et d’être fier de le faire et non pas d’avoir honte de l’acte.

« Avoir le courage de faire pour plaire à sa maîtresse est un acte de bravoure que beaucoup de vanilles n’ont pas. Je suis fière de toi, et pour me plaire, vendredi je veux que tu viennes avec ma culotte sur toi ».

Le vendredi soir vers 19 heures

Paul toujours encagé et vêtu du sous-vêtement féminin faisait les 100 pas devant la brasserie du port en se demandant si sa maîtresse viendrait. Elle lui est apparue comme une sirène, blonde aux yeux bleus comme indiqué avec effectivement quelques kilos en trop mais le charme fou que dégage Maîtresse Dana électrisa aussitôt son cœur. Confortablement installés à la terrasse de la brasserie, ils discutèrent d’une multitude de chose comme s’ils étaient amis depuis des années. Après un bref repas pris sur place, ils marchèrent le long des quais. Paul s’aventura à lui prendre la main, elle ne la retira pas. Une heure et quelques baisers plus tard, ils étaient chez elle. La porte à peine fermée c’est dans une étreinte sauvage et sensuelle qu’ils se vautrèrent sur le canapé comme des amoureux.

Si la cage de chasteté et le tchat du site www.fessestivites.com leur avait permis de se rencontrer et de se « tester » dans les jeux, cette fois, elle fut un sérieux frein au câlins que tous deux désiraient ardemment.

Certes, une cage de chasteté n’empêche pas de câliner, mais nous laisserons les amoureux maintenant tranquilles en allant surfer et peut-être même laisser un commentaire sur cette histoire.

TSM

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Par abccharme - Publié dans : Cage et ceinture de chasteté - Communauté : Mondes Libertins
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Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 18:08

Rencontre avec une femme ronde dominatrice

L'histoire érotique d'une rencontre BDSM qui commence par du virtuel avec une cage de chasteté et finira par une rencontre réelle avec une femme ronde dominatrice.

Soumis Louis rêvait de soumission, de BDSM et recherchait une Maîtresse depuis des années. Elle lui est apparue comme un mirage, un soir sur le tchat de Fessestivites. Son approche étant très respectueuse et soignée, il réussit à attirer son attention. Ils se retrouvent régulièrement le soir sur le tchat pendant plus d’une semaine.

Désireuse de le tester, elle lui demande de commander sur ABCplaisir un cadenas à combinaison qui lui sera vendu sans la combinaison. Lors de la commande il devra préciser que c’est à Madame Maure de Fessestivites qu’il faut envoyer la combinaison. Comme elle ne lui demande pas d’argent, juste de dépenser quelques euros pour qu’ils puissent jouer tous les eux, Louis est rassuré, ce n’est pas du racolage, elle est bien une Maîtresse dans l’âme.

C’est ainsi que débute leur relation virtuelle. Il allume sa cam et pose son cadenas sur sa cage de chasteté, c’est une « Cage de chasteté Anneau sécur » qui est solide et facilite la toilette. Pendant près de dix jours, elle le « charcute » psychologiquement pour le rendre dingue d’excitation. Entre les effets de la cage de chasteté, son rêve de rencontrer sa Maîtresse et les provocations érotiques qu’elle lui fait, soumis Louis rampe déjà d’amour devant son PC tous les soirs.

Il ne sait pas grand chose d’elle, hormis qu’elle est très sympathique, très à l’écoute, qu’elle a 40 ans et recherche réellement son soumis d’amour. Elle ne cumule pas les rencontres, les soumis virtuels, sa recherche est sérieuse pour preuve, Madame Maure a modifié son annonce pour indiquer qu’elle a trouvé son soumis et qu’elle s’occupe de lui uniquement.

Le seul souci, est qu’il ne l’a jamais vue en cam, la seule chose qu’il a vue ce sont ses pieds sur la photo de son profil. Son imagination gambade grandement surtout qu’elle lui a indiqué être blonde, avoir les yeux bleues et une poitrine très généreuse. Madame Maure ne lui ment pas, mais elle ne lui dit pas tout. Elle ne lui parle pas de son complexe ni de son souci.

Après trois semaines d’échanges virtuels riches, basés pas uniquement sur le BDSM mais aussi les choses de la vie, lorsqu’elle lui propose de se rencontrer, soumis Louis frise l’attaque cardiaque. Il accepte avec plaisir en lui indiquant que ce sera un honneur pour lui que de la rencontrer et de la servir.

Oui mais voilà, les demandes et conditions de Madame Maure sont aussi originales que particulières. Il devra pour qu’elle vienne chez lui :

- Lui donner son adresse.

- Lui donner son numéro de portable

- S’entraver nu couché sur le dos avec des menottes en acier, les vraies vendues sur ABCplaisir. Ses mains devront être menottées dans son dos.

- Il devra avoir les yeux réellement bandés. S’il triche, elle repartira.

Le soir de la rencontre, il mettra un double de ses clés sous son paillasson pour qu’elle puisse entrer. Elle lui adressera un texto pour lui indiquer qu’elle va arriver. Il disposera alors de 5 minutes pour se mettre nu et réaliser tout ce qu’elle lui a ordonné. Soit il accepte ses conditions, soit leur relation est terminée, Madame Maure ne supporterait pas qu’il soit un fantasmeur et non pas celui qui désire être réellement son soumis attitré.

Soumis Louis est aussi perturbé qu’inquiet car cette façon de faire originale peut très bien cacher que, Madame Maure soit un travesti, ou carrément un escroc ayant pour objectif de le dépouiller. Son désir de soumission et son excitation pulvérisent la logique de prudence, il accepte toutes ses conditions malgré la peur.

LE VENDREDI SOIR A 21 HEURES

Tout est prêt et, comme prévu, Louis a mis un double des clés sous son paillasson devant la porte de son appartement. Un texto lui annonce qu’elle ne va pas tarder à arriver et qu’elle a bien trouvé l’adresse. Elle ne lui laisse que 5 minutes chrono pour se préparer et la recevoir selon ses conditions s’il n’a pas changé d’avis.....

Louis lui répond aussitôt par texto qu’il sera prêt à la recevoir comme demandé avant de s’allonger nu sur le sol après s’être bandé les yeux avec le bandage médical qu’elle lui a conseillé un soir dans leur discussion. Il ferme les menottes dans son dos puis finit de s’allonger comme demandé. Dans sa cage de chasteté, son sexe gonflé par l’excitation lui fait mal tant il est contrarié de ne pouvoir s’exprimer. Le bruit des clés dans la serrure le fait bondir de peur, et en même temps le rassure, elle est bien venue. Enfin, elle si ce n’est pas une arnaque ou un piège mortel.

- Bonsoir petit soumis !

- Bonsoir Maîtresse, bienvenue en mon humble logis.

Après avoir posé son manteau, son sac à main et un sac contenant quelques accessoires BDSM, Madame Maure entreprend de le rendre fou en faisant tomber et glisser ses longs cheveux blonds sur la poitrine nu de Louis puis sur son visage. Ce premier contact physique après 15 jours de chasteté le rend complètement dingue. Histoire de le pousser encore, elle attrape son sexe encagé, le tripote et l’agite.

- Mais tu es très excité à ce que je vois, qu’es-tu prêt à faire pour que ta Maîtresse t’accorde une pause de chasteté ?

- Tout ce que vous voudrez Maîtresse.

- J’aime les bonnes langues, celles qui se donnent tout à leur mission. Roule sur le ventre je vais t’offrir mes pieds à lécher pour commencer.

Madame Maure prend une chaise, retire ses talons puis présente ses pieds magnifiquement manucurés devant le visage de Louis. Il les embrasse, les lèche et s’investissant comme un fou dans cette première mission. Au bout d’un moment, elle lui ordonne de se remettre sur le dos et, surprise, lui pose une ceinture autour des cuisses qu’elle bloque l’une contre l’autre en serrant fortement. A la suite de quoi, elle s’attaque aux tétons de son soumis qu’elle malaxe en serrant de plus en plus fortement jusqu’à lui arracher de petits couinements.

- Ce sont des accélérateurs de langue ! Indique Madame Maure en posant des pinces à sein sur les tétons de Louis. Si tu ne t’appliques pas à me lécher la chatte, je tirerai sur la chaînette pour te motiver. Et si tu ne fais pas d’effort, ma cravache sur tes couilles saura te convaincre. Un soumis se doit d’exécuter correctement les ordres de sa Maîtresse.

- Bien Madame, mais je ferai de mon mieux, c’est promis ! Répond Louis pas très rassuré.

Madame Maure enjambe le visage de Louis puis lui ordonne de tirer la langue avant de se rapprocher pour qu’elle puisse juste l’effleurer. Son soumis tremble de désir, soulève la tête mais parvient à peine à la toucher.

- Tu pourrais faire un effort pour donner du plaisir à ta Maîtresse ! Indique Madame Maure en tapotant ses testicules avec sa cravache.

Louis tend sa tête comme un fou en s’appuyant sur ses coudes, sa Maîtresse s’amuse à le faire languir avant de décider qu’il est temps de passer aux choses sérieuse : s’asseoir sur son visage !

Madame Maure fait 1 mètre 65 pour 110 kilos, là est son souci et son complexe. Elle est une femme ronde, très ronde, les hommes ne sont pas attirés par son corps. C’est du moins ce qu’elle ressent et qui la bloque. A travers la domination, elle arrive à avoir quelques amants, hélas toujours de passage car ils ne souhaitent pas donner suite à leur relation. S’étant enrichie d’informations sur les effets phycologiques de la cage de chasteté, elle tente avec Louis de créer des effets de manques titanesques visant à le soumettre et à se faire aimer malgré son poids. La solitude lui pèse énormément et la pousse à ce type d’excès alors qu’elle ne rêve que de câlins.

Soudain, elle s’assoie sur le visage de Louis et lui donne sa chatte à lécher. Au milieu de son sexe si généreux, le visage du soumis disparaît presque entre les cuisses féminines de bonne taille. Il lape sans se poser de question jusqu’au moment où, en manque d’air, il se débat pour survivre.

- Qu’est-ce qu’il y a, elle n’est pas bonne ma chatte ?

- Oh si Maîtresse, il faut juste que je respire un peu de temps en temps !

Comprenant le problème, elle décide d’en jouer, à chaque fois qu’il a repris sa respiration, « il y retourne » bien volontiers et semble même s’en délecter. Soudain, Louis fait riper sa tête et lui fait une feuille de rose, et plonge sa langue le plus profondément possible en son anus. Agréablement surprise, elle s’assoie un peu plus et savoure les sensations, c’est une première pour elle. Au bout de quelques secondes, Louis en perdition s’agite, il a besoin de respirer. Elle lui laisse reprendre sa respiration et repose ses fesses sur le visage de Louis.

Cette fois, il réussit à caler son nez entre les deux montagnes de chair que représentent les deux hémisphères fessiers, l’anilingus dure donc beaucoup plus longtemps. Les mains de Madame Maure sont attirées par sa chatte, ou plus précisément son clitoris. D’une main, elle écarte ses chairs, de l’autre, elle entreprend de titiller son clitoris. Le plaisir ne tarde pas à pointer son nez, elle ruisselle littéralement de plaisir. Dans la dernière ligne droite, elle ripe sur le visage de Louis qui se retrouve dans un véritable marécage de sécrétions féminines. Lorsqu’elle implose, elle l’écrase encore plus, fait fontaine en libérant un flot de cyprine et un peu d’urine. Louis lape toujours avec autant de conviction jusqu’au moment ou, à court d’air, il se débat pour sa survie.

Madame Maure est un peu « cassée » dans sa jouissance par son attitude de désespéré. Elle l’engueule et claque ses précieuses avec sa cravache en tirant sur la chaîne des pinces à sein.

- Désolé Maître, mais il fallait que je respire, j’allais tomber dans les pommes. Hurle Louis.

- C’est vrai ça ?

- C’est juré Madame, revenez s’il vous plait, j’ai encore envie de vous donner du plaisir.

- Mets-toi sur le ventre ! Ordonne Madame Maure, et vient me lécher encore.

Allongée sur le dos à même le tapis du salon, elle écarte les cuisses et guide la tête de Louis en lui tirant les cheveux. C’est effectivement avec beaucoup de conviction qu’il replonge son visage dans les nymphes épanouies et trempées pour la dévorer. Ce serait encore mieux pour lui si les pinces à sein sur lesquelles il s’appuie ne lui massacraient pas les tétons. Ne le supportant plus, il fait une pause pour lui expliquer son souci, de bonne grâce, elle les lui retire, hélas trop vite, ce qui lui fait un mal de chien et le fait crier.

- Tais-toi et lèche ! Lui ordonne Madame Maure.

Louis se remet à l’oeuvre et la dévore avec beaucoup de conviction. Il veut la faire jouir encore, elle le sent vraiment motivé pour lui donner du plaisir. Pour lui prouver qu’il est prêt à tout pour sa Maîtresse, il se remet à lécher son anus et joue avec son nez comme si c’était une petite bite. Pour Madame Maure, le plaisir est grand, ses mains se remettent en chasse de son bouton magique et le titillent jusqu’à une nouvelle jouissance. Encore une fois, Louis lape tout sans rechigner mais comme c’est bien trop fort pour elle, elle finit par resserrer les cuisses pour se protéger de cette langue vorace.

- Tu as gagné le droit de jouir ce soir mais à mes conditions. Mets-toi à genoux devant moi. Ordonne Madame Maure.

Tant bien que mal, il parvient à se relever et à prendre la position demandée. Madame Maure retire la cage de chasteté et ouvre son chemisier dont elle fait jaillir ses seins généreux. Elle les lui donne à téter pendant qu’elle le masturbe. Même si la position est inconfortable, même si ce n’est pas sa propre main, l’excitation est telle qu’il ne tarde pas à jouir et à éjaculer dans les mains de sa Maîtresse.

- Tu ne m’as pas demandé la permission de jouir ! Pour ta punition, tu vas lécher mes mains vilain !

Écœuré, il s’exécute même s’il n’aime pas du tout ça. Il lèche aussi avec conviction chaque doigt pour effacer toutes les traces de son éjaculation. Elle le félicite et le libère des menottes à la seule condition qu’il ne retire pas le bandeau qu’il a sur les yeux. Il jure de respecter cette demande qui avait pour objectif qu’il remette sa cage de chasteté sur laquelle elle repose le cadenas.

- Je dois partir, tu vas te mettre à quatre pattes comme un bon chien et attendre sans bouger que je me rhabille correctement.

- Puis-je vous offrir un verre Madame ?

- Non, pas ce soir, la prochaine fois ! Lui répond Madame Maure avant de quitter les lieux en lui indiquant qu’il doit compter jusqu’à mille avant de retirer son bandeau.

.............................

Louis a respecté la dernière consigne avant de se jeter sur son ordinateur pour monter sur Fessestivites et la remercier de sa visite. Il conclue espérer qu’elle reviendra souvent car ce fut un plaisir pour lui que de la servir de sa langue.

Pour Madame Maure, c’est un rayon de soleil qui entre en son logis lorsqu’elle découvre ce message privé. Enfin un qui ne la rejette pas, qui n’a rien contre les femmes grosses car elle en est convaincue, il sait maintenant qu’elle est « difforme ».

A raison d’une fois par semaine et selon le même principe, à l’aveugle pour Louis, ils se retrouvent ainsi pendant un mois et demi. A chaque fois, Madame Maure est aussi heureuse que Louis. Ce ne sont plus des messages privés qu’il lui adresse via Fessestivites, mais des déclarations d’amour.

Le sentant tomber amoureux, très gênée elle décide d’arrêter de tricher et de se cacher, de lui cacher qu’elle est vraiment énorme, carrément « difforme » d’après elle. Ne se sentant pas de prendre sa voiture et de rentrer chez elle après s’être faite virer, elle lui propose de venir chez elle. « Alea jacta est » arrive ce qu’il arrive s’est dit Madame Maure.

En le voyant arriver les bras chargés de fleurs et avec une bouteille, Madame Maure a les larmes aux yeux. Elle angoisse terriblement à l’idée de sa réaction lorsqu’il la verra pour la première fois depuis le début de cette relation particulière.

L’estomac noué, elle ouvre la porte, se cache presque derrière pour le faire entrer. Lorsqu’il la voit pour la première fois, le visage de Louis n’affiche aucune réaction, hormis un grand sourire.

- Ceci est pour vous Maîtresse ! Lui indique Louis en souriant encore.

- Tu me trouves comment ?

- Très belle Madame ! Répond Louis spontanément.

- Ne te moques pas de moi s’il te plait ! Répond fermement Madame Maure dont les yeux deviennent noirs de colère.

- Vous avez un visage d’ange, des yeux à faire fondre la banquise et des cheveux à faire damner tous les saints. je vous aime Madame.

- C’est vrai, tu es sincère ? Tu ne dis pas ça pour me faire plaisir ? Je suis difforme tant je suis grosse, comment peux-tu m’aimer ?

- Madame, j’ai une faveur à vous demander !

- Tu veux partir c’est ça ? Demande Madame Maure s’attendant au pire tant elle est complexée.

- Puis-je vous embrasser ?

Les yeux de Madame Maure s’embuent de larmes à cette question, sa gorge se serre, elle ne peu plus parler. Louis a compris le problème de sa Maîtresse. Il pensait juste lui faire la bise sur les joues mais il va en être autrement, l’horrible mot « difforme » résonne encore dans sa tête.

Il prend alors la décision de ne pas attendre la réponse. Il pose les fleurs et la bouteille sur le sol dans l’entrée, pousse la porte qu’il claque et la prend dans ses bras pour l’embrasser sur la bouche. Madame Maure est comme privée de toute énergie, sans possibilité d’accepter, de refuser, de fuir ce baiser, elle a perdu pieds et se laisse embrasser et serrer contre lui.

Ce baiser dure longtemps, ce n’est pas « une pelle » qu’il lui roule, c’est une vraie déclaration d’amour.

- Alors c’est vrai, je te plais vraiment ? Mon corps ne te rebute pas ? Demande Madame Maure en essuyant ses yeux.

- Madame, je vous aimais avant de vous voir ! Maintenant, je vous aime encore plus. Est-ce suffisant comme réponse ? Conclue Louis en l’embrassant à nouveau avant de lécher ses larmes.

- Tu seras puni pour m’avoir embrassée sans ma permission ! Répond Madame Maure en essayant de retrouver une contenance digne d’une Maîtresse.

- Oui Maîtresse, mais ce soir, laissez-moi vous câliner librement. Laissez-moi libre de vous donner de l’amour et de la tendresse. Exceptionnellement, oubliez que vous êtes Maîtresse, vous me punirez plus tard ! Demande Louis en la serrant à nouveau dans ses bras.

Madame Maure fait un simple « oui » de la tête, elle s’attendait à tout sauf à ça. Louis ramasse les fleurs et la bouteille avant de la conduire dans son salon où il la prie de bien vouloir s’asseoir sur son canapé. Ayant repéré des verres dans le buffet vitré, il prend l’initiative d’en attraper deux et d’ouvrir la bouteille de champagne qu’il a emmenée pour les servir. Il lui tend un verre de champagne et porte un toast à leur rencontre. Les yeux dans les yeux ils trinquent et le boivent sans dire un mot.

Louis pose son verre, retire celui des mains de sa Maîtresse avant de s’agenouiller entre ses jambes pour lui faire un gros câlin tout sage en posant sa tête sur son gros ventre. Madame Maure ne sachant que dire se met à caresser ses cheveux. Louis se redresse et l’embrasse à nouveau. Il s’interrompt un instant pour lui glisser dans l’oreille, qu’un soumis aussi entreprenant devrait être sévèrement puni.

Madame Maure le repousse aussitôt, lui ordonne de se mettre intégralement nu et de s’allonger sur le tapis. Louis la regarde sans comprendre mais s‘exécute. Elle plonge la main dans son chemisier, retire la cage de chasteté puis, en le regardant droit dans les yeux, prend son sexe dans sa bouche pour lui faire une fellation.

- Mais madame, c’est à moi de faire ce genre de chose ! Crie presque Louis à son tour très gêné.

Madame Maure se redresse, lui met une gifle de principe avant de lui dire qu’une Maîtresse fait ce qu’elle a envie, sans avoir à demander à son soumis si cela lui plait ou non puis ajoute : « j’en ai envie depuis le début ».

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Louis ne devait passer que la soirée, il y passera le week-end. Fessé pour avoir osé embrasser sa Maîtresse sans permission, il est ensuite puni en devant « la manger de partout ». Le dimanche soir, Madame Maure ne tient plus, elle retire la cage de chasteté de Louis, lui enfile un préservatif et le chevauche comme une damnée.

Ce câlin purement sexuel n’est que le premier d’une longue série. Ayant trouvé la f o r c e de faire appel à la chirurgie, Madame Maure s’est fait poser un anneau gastrique. Elle rayonne de bonheur, tout comme Louis qui n’est toujours pas gêné qu’elle ait quelques kilos en trop. Au contraire, il se plait à lui dire « j’aime quand il y a quelque chose à toucher », ce qui à chaque fois lui vaut une punition de principe.

TSM

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Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 18:00

Cage de chasteté La Louve Gynarchique

Lorsque l'on a une Maîtresse gynarchique, on ne peut se contenter d'une simple CB6000. Il convient d'avoir une cage de chasteté représentative de son image.

Cage de chasteté La Louve  
Cage de chasteté La Louve

La cage de chastete de la Louve est ici sur ABCplaisir

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Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 17:34

La belle-fille surprise en plein selfbondage

Cette histoire érotique aborde les réactions d’un Maître découvrant que sa belle-fille fait du selfbondage puis des choses qui ne se font pas et méritent une fessée en plus d’une punition.

Suite à l’annulation d’un rendez-vous, mon après-midi de commercial était perdue. Ne pouvant rien faire de rentable de ce temps, j’ai décidé de rentrer à la maison. La voiture garée et le portail fermé, j’entre dans la maison et m’étonne que l’alarme de soit pas mise. Sur le coup, j’ai pensé que la fille de ma femme avait encore oublié.

Maud est une fille âgée de 23 ans qui se complait dans les études et qui trouve que vivre chez papa, maman est bien confortable..... Mais bon, c’est comme ça, j’ai pris la femme et la fille qui nous gêne quand même beaucoup dans nos activités intimes et BDSM.

Après avoir posé mon sac et mes clés, je me rends dans notre chambre pour me changer et enfiler une tenue adaptée au jardinage. Voir notre coffre à jouet BDSM ouvert puis une partie de nos accessoires et sextoys étalés sur le lit m’a surpris. Marie ne fait jamais ça, elle tient trop à préserver sa fille en lui cachant nos jeux ! Après réflexion, furieux, je pends les escaliers pour monter dans la chambre de Maud afin d’en savoir plus et surtout lui passer un savon car il ne pouvait y avoir qu’elle pour avoir fait ça !

Les clés de menottes récemment achetées sur ABCplaisir étaient posées dans le couloir. Elles sont facilement reconnaissables car j’ai monté un gros porte-clé dessus pour les trouver facilement dans la caisse à jouet. J’avance d’un pas décidé et les poings serrés bien décidé à incendier l’étudiante irrespectueuse. La porte de la chambre de Maud était ouverte, j’entre donc sans frapper et là, surprise !

Maud était quasiment nue, couchée sur le côté, avec un bandeau posé sur ses yeux, le bâillon bouche ouverte dans la bouche et les mains menottées dans le dos accrochées à une chaîne lui servant de string. Histoire de se donner un maximum de plaisir, cette garce avait aussi pris les pinces à sein qui faisaient un très bel effet sur sa poitrine généreuse.

Sa musique étant à fond comme d’habitude, elle ne m’a pas entendu arriver. Surpris, au lieu de l’incendier de suite, j’ai pris le temps d’apprécier ce spectacle érotique qu’elle m’offrait sans s’en rendre compte. La moquette étouffant mes pas, je l’ai contournée discrètement et, en m’approchant de son ordinateur, que vois-je ? Cette salope surfe sur Fessestivites avec notre compte !

Adieu notre intimité ! Mais ça, c’est la faute de Marie qui n’a pas fait attention et a enregistré le mot de passe sur le PC familial malgré mes mises en garde. Là, j’avoue que je suis de plus en plus furieux car elle a du voir les photos de sa mère en mauvaise posture.

La colère montant en moi a fait que je n’ai plus de remords ni ma retenue habituelle sur le respect de la discrétion et de la vie intime de la fi-fille délurée. Je consulte l’historique de son PC et constate que les photos de femmes soumises sexuelles et de selfbondage font parties de ses envies. Il n’y a pas que les photos d’ailleurs, elle a aussi regardé des vidéos y compris celle que nous avons postée et qui est réservée aux amis.

Sa putain de musique de malade crachant des insanités d’une vulgarité à faire rougir un régiment de parachutistes me cassant les oreilles, je la coupe et la regarde en me demandant ce que je dois faire. Maud a soudain peur, essaye de parler mais le bâillon ne l’aide pas. Pour commencer de la punir, je ne fais rien pour la rassurer et ne parle pas. Cette idiote tire sur les menottes comme si elle pouvait se libérer, réflexe bien inutile, les menottes d’ABCplaisir c’est du solide.

Je me lève de sa chaise de bureau pour aller chercher l’appareil photo. Maud se recroqueville et gémit en entendant mes pas en pensant sûrement que le « cambrioleur » pourrait avoir des envies.... Des envies j’en ai une oui, lui donner une bonne leçon de savoir vivre et de la punir. Une minute plus tard, quand j’entre dans sa chambre, elle n’a guère bougé, elle s’est rapproché des clés de la sortie en espérant ramper rapidement jusqu’aux clés. Sauf que les dites clés sont maintenant dans ma poche. Des photos j’en fais plein, de ses mûrs, de son bureau et surtout pas d’elle mais ça, elle ne peut le savoir. J’approche l’appareil de sa tête et le mets en mode rafale pour qu’elle entende bien le bruit.

Après avoir posé l’appareil sur son bureau, je retire le bandeau à velcro qu’elle n’a pas pu retirer en essayant de fuir. Ses yeux mouillés de larmes grands ouverts me fixent, je peux y lire l’angoisse et la honte.

- Alors salope comme ça, tu fouilles dans nos affaires ? Le respect de l’intimité des autres tu ne connais pas ?

Maud bouge les épaules en essayent de s’excuser mais avec le bâillon, si je comprends le sens de ce qu’elle veut dire, cela reste du yaourt.

- Et ça c’est quoi salope ? Tu fouilles le PC de la maison pour aller voir nos surfs et le navigateur pour aller y chercher nos mots de passe ?

La fautive se désespère et continue de pleurer. N’osant plus me regarder dans les yeux elle regarde la moquette, lui trouvant sûrement un grand intérêt. Je reprends l’appareil photo et lui fait croire que je prends quelques clichés de l’écran de son ordinateur.

- Que tu ais une vie sexuelle est normal. Que tu ais envie de faire du selfbondage je m’en tape, c’est ta vie et ton corps. Que tu fouilles dans nos affaires et notre intimité est un scandale. Je vais te laisser deux choix. Soit je te punis comme tu le mérites et crois moi tu t’en rappelleras toute ta vie, soit je dis tout à ta mère et lui fait voir les photos. J’ai fait aussi des photos de notre chambre avec tous nos jouets intimes posés sur le lit. Je vais te retirer le bâillon, cela te laisse le temps de réfléchir.

- Je suis désolée, j’ai honte, je suis une grosse conne, pardonne-moi s’il te plait ! Me demande Maud dès que je lui ai retiré le bâillon.

- Je te donne la punition que tu mérites et je garde ça pour moi en effaçant les photos ou je dis tout à ta mère et lui fait voir ce que sa fille a fait ?

- J’accepte mais ne lui dit pas, s’il te plait.

- Tu acceptes quoi ?

- Que tu me punisses....

- Que je punisse la vilaine fille ! Répète !

- Que tu punisses la vilaine fille ! Répond Maud d’une toute petite voix en baissant les yeux.

- Je vais te donner la fessée que tu mérites pour commencer !

- Nonnnn, pas ça..... supplie Maud.

Je l’attrape pas le bras et la soulève quasiment pour la coucher sur mes genoux pour lui donner la fessée méritée.

- Oh mais que vois-je tu t’es aussi mis le rosebud coeur de maman dans les fesses ! Mais putain, la gêne ne t’étouffe pas toi !

Et là, ma main et partie naturellement à la rencontre de son petit cul magnifiquement dessiné. Ce n’est pas une fessée plaisir ou érotique, non, ce sont de vraies claques appuyées qui s’abattent sur son fessier. Maud crie et essaye de mettre ses mains que je bloque aisément avant de continuer. En voyant la couleur de ses fesses devenir rouge foncé, je prends conscience qu’il est temps d’arrêter. C’est vraie que j’ai bien laissé aller ma colère sur le joufflu aussi joli soit-il. Maud pleure mais ne réagit plus. Aucune supplique et aucune demande de pardon ne vient conclure cette correction mais je ne peux lui expliquer qu’il est de tradition de remercier le Maître....

Comme elle ne me remercie pas,.... et ne s’excuse plus, l’envie de rajouter une petite touche de sadisme me vient. Je la fais glisser de mes genoux pour la déposer sur le sol. Son regard apeuré cherche à me sonder quand elle comprend que j’en ai pas terminé avec elle.

- Ne bouge pas je reviens !

Une idée m’a traversé l’esprit, compléter son selfbondage et rendre sa libération un peu douloureuse. Pour cela, j’ai besoin d’une chaînette et d’un cadenas que je vais chercher dans notre chambre. A mon retour, Maud n’a pas bougé, elle attend le verdict comme une condamnée. A la vue de la chaînette que je passe dans celle de ses pinces à sein, elle se met à supplier mais je n’en ai que faire. Je l’oblige à se pencher en avant et la fixe aux menottes de chevilles.

- Regarde, je vais être gentil avec toi, je vais remettre les clés où tu les avais mises et te laisser te libérer toute seule. Quand tu seras libre, tu prendras une douche parce que là tu pues la femelle, tu t’habilleras, tu iras tout ranger et viendra me faire un câlin. A partir de là, tout sera oublié. Amuse-toi bien !

Dans ses yeux, je peux lire la haine, mais la peur d’une autre punition lui interdit de formuler tout ce qu’il lui passe par la tête. Je la laisse donc en mauvaise posture en sachant qu’elle va déguster pour ramper jusqu’aux clés et qu’à chaque mouvement elle tirera plus ou moins sur les pinces accrochées à ses tétons.

Une heure plus tard Maud débarque dans le salon, ses yeux sont encore rouges, à mon avis pas autant que ses fesses que je n’ai pas épargnées.

- Je suis vraiment désolée, ce que j’ai fait est lamentable, je te demande de me pardonner. Murmure Maud les yeux baissés.

- Viens t’asseoir sur mes genoux, je crois qu’un gros câlin nous fera du bien à tous les deux.

- Tu me pardonnes ? Me demande Maud en appuyant sa tête contre mon épaule.

- Je pardonne quoi ? Il s’est passé quelque chose ?

- Ben je crois que tu as des photos qui le prouvent.

- Ah bon ? Je ne crois pas. Regarde toi-même !

Maud attrape aussitôt l’appareil et visionne les photos des murs de sa chambre.

- Mais tu ne m’as pas photographiée ?

- Non, te punir est une chose, t’humilier aux yeux de ta mère en est une autre que je ne ferai jamais !

- Pardon................... Crie ma belle-fille en se lovant dans mes bras pour me faire un câlin comme si j’étais son vrai père.

EPILOGUE

Maud et moi sommes devenus plus proches dans notre relation mais en tout bien tout honneur que l’on se rassure. Je lui ai proposé de me parler librement de sa sexualité que je pouvais comprendre en lui expliquant que mon but était de lui éviter les pièges et éventuellement de mauvaises rencontres. Elle était très gênée mais comme j’ai insisté sur le fait que je voulais juste être un garde-fou pas un censeur et encore moins quelqu’un qui la juge, elle a fini par accepter de me parler un peu.

Pour le selfbondage, je lui ai aussi proposé de m’adresser un texto codé quand elle en fait puis le même texto quand elle est libérée pour lui servir de sécurité. Ce qui m’a surpris le plus, c’est qu’elle le fasse et je me demande si elle n’a pas envie d’appeler à l’aide..... chose qui, finalement, me gênerait terriblement car c’est la fille de ma femme.

TSM

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Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 17:34

La honte d’un gilet jaune même pas casseur

Un gilet jaune soumis à une sévère Maîtresse se rend en couche à la manifestation aux Champs Élysée à paris. Une erreur fatale va lui faire vivre un enfer.

Lors de l’épisode 3 des gilets jaunes, mes convictions m’ont poussé à quitter mon confort pour les rejoindre. J’ai donc demandé à ma Maîtresse comme une faveur de me retirer ma cage de chasteté ce week-end là. Elle n’a rien voulu savoir. « Une punition est une punition, tu as pris une semaine de cage supplémentaire, assume » a été sa seule réponse.

Comme je m’étais engagé à rejoindre des copains, j’étais devant un conflit, non pas social mais personnel. Y aller et prendre le risque d’avoir des soucis, ne pas y aller et me faire traiter de dégonflé. Le souci de la cage de chasteté, une BON45 achetée sur ABCplaisir, c’est que pour faire pipi il faut s’asseoir. Ne pas le faire, c’est prendre le risque de mouiller son pantalon.

A ce problème de « position », s’ajoutait celui de prendre le risque d’être vu avec ma cage de chasteté. En effet, nous les mecs, on peut se soulager derrière un arbre ou une voiture sauf que là, avec des milliers de personnes autour de moi, pour la discrétion ...... Dépité, j’avais pris la décision de me faire porter pâle le vendredi, ainsi les copains me croiraient réellement malade.

Sauf que, avec mon salaire de misère, perdre une journée de travail risquait d’irriter sérieusement mon banquier et de créer un conflit social entre lui et moi. Sur ce coup là, aller manifester devant la banque n’aurait rien changé. Que faire ?

La solution m’a sauté aux yeux lors d’un de mes surfs sur Fessestivites en matant des photos. Il y a des soumis qui, sous cage de chasteté, mettent aussi des couches. Ce sont parfois leurs nurses qui imposent le dispositif de chasteté à leur « bébé » sous prétexte, qu’un bébé cela ne se masturbe pas. Je monte donc sur Abkingdom, un site dédiée aux ABDL pour collecter des informations pratiques.

J’ai donc passé une soirée entière à lire les forums, puis étudier dans la rubrique shopping les marques de couche. Il m’en fallait une qui ait une grande contenance tout en étant discrète. Après m’être brûlé les yeux sur l’écran pendant des heures, le souci des délais de livraison se sont posés. Nous étions mardi soir, il fallait à tout prix que je les ai avant le vendredi pour faire les tests. Sauf que, avec les barrages « des gilets jaunes » si la livraison était perturbée, je l’avais dans le ... l’os pardon. Les seules solutions pour être sûr de moi étaient donc la pharmacie ou le supermarché.

Le mercredi soir après ma journée de travail, la queue encagée entre les jambes, me voilà donc parti au supermarché plutôt qu’à la pharmacie pour cause de finances dépressives. J’ai bien failli abandonner l’idée de rejoindre les copains deux douzaines de fois. Dans le rayon et lors de mon passage en caisse, j’étais blême. C’était comme si tout le monde me regardait alors que je ne portais pas encore de couche. Et, comme il n’y a plus de sacs en plastique, j’avais prévu un sac à dos pour le retour.

J’ai eu l’air c.... le paquet de couche n’est pas rentré dedans, même si, j’ai pu m’y dissimuler tant j’avais honte. Juste avant de prendre le métro, j’ai bien failli baisser les bras, tant le courage me manquait. Finalement, je suis rentré à pieds sous la pluie ! Celui qui me dit que les soumis n’ont pas de c.... courage, je lui fais bouffer mes couches ! (Usagées faut pas déconner, je les ai payées en raclant les fonds de tiroir comme l’on dit).

Arrivé à la maison, pressé de les essayer pour voir si elle allait se voir, j’en ai mis une de suite. Ce n’est pas facile quand on n’a jamais mis ce truc. Une fois devant la glace, je me suis dit que finalement, avec mon pantalon de survêtement, cela devait passer inaperçu. J’étais sauvé.

De retour sur Abkingdom, je suis allé voir si certains avaient des astuces pour que cela ne se voit pas. Un body semblerait être une solution sauf que je n’avais plus de sous et que cette idée ne me séduisait pas du tout. Mon premier pipi couche fut très compliqué à faire. Même si je fais des trucs un peu fous comme du selfbondage, là, j’étais bloqué. Bloqué comme si j’avais honte et peur que l’on me voit volets fermés. Deux bières plus tard, j’avais la vessie prête à exploser et .... toujours impossible de la libérer. J’ai même essayé de me mettre un vibro sur la couche, en vain, à part faire « « criser » » Popaul dans sa BON45, je n’y arrivais pas. Il fallait à tout prix que je me débloque.

Ayant toujours un jeu de clé des menottes d’ABCplaisir et de mes cadenas au congélateur, j’ai donc décidé d’employer les grands moyens solitaires. J’ai sorti les chaînes, mes menottes et je me suis mis nu avec la couche comme seul vêtement. Pour trouver le courage, je me suis descendu une autre bière avant d’enchaîner mes chevilles que j’ai verrouillées sans tarder. J’ai mis la petite chaîne à ma taille que j’ai cadenassée, puis j’ai fixé le bout restant à mes chevilles pour me faire un Hogtied. Avant de changer d’avis, j’ai bloqué mes menottes dans les chaînes et j’ai entravé mes poignets. Si en temps normal j’aime me faire des plans de ce type, présentement, ce soir là le plan manquait de charme.

Le froid a fait cause commune avec les bières pour me martyriser. Et pour cause, je ne chauffe presque plus pour cause de pénurie de trésorerie. C’est donc en rampant comme un vers le glaçon emprisonnant les clés que j’ai eu une première fuite. Lorsque j’ai mis mes doigts dans le bol d’eau glacée, et retrouvé un glaçon à peine fondu, j’ai fini par craquer et ouvrir les vannes de la honte. Humm c’était chaud ça au moins.

Dix minutes plus tard, le glaçon sympathique m’a rendu les clés et j’ai pu me libérer. Le souci a été qu’en me levant, j’ai du rattraper la couche qui se faisait « la malle ». ce qui m’a fait plaisir, c’est qu’il n’y avait pas d’urine par terre malgré mon gigantesque abandon fasse à ma vessie en colère. Ce premier conflit social interne résolu, le syndicat moral a baissé les bras, j’en ai remis une autre pour affiner les réglages et recommencer pour « mieux voir » les sensations. Finalement, j’ai aimé la sensation du pipi couche et j’ai même dormi avec après avoir mangé une boite de petits pois.

Rassuré et après une autre tentative avec, en prime, une courageuse balade en ville avec une couche (vers 23 heures...) j’ai confirmé ma venue à la manifestation du samedi.

L’ERREUR FATALE

Dans mon sac à dos, je m’étais pris un saucisson et un morceau de gruyère avec une baguette de pain. Jusque là rien de gênant me diriez-vous, sauf que pour couper le saucisson j’avais pris mon petit cran d’arrêt. Il n’a rien d’une arme et il n’est pas plus gros qu’un petit opinel. Au fond de mon sac à dos, j’avais enroulé une couche de plus dans une serviette au cas où, j’aurais des fuites et la possibilité de trouver un endroit pour me changer. Une bouteille d’eau en plastique est venue compléter mon pique-nique.

A 9 heures j’étais au rendez-vous avec ma couche dissimulée sous mon pantalon de survêtement et un énorme pull-over qui descend bien dans le dos. Après les bises d’usage, nous voilà partis en métro pour sortir trois stations avant les Champs Elysées. A la sortie du métro, il y avait .... des bleus armés jusqu’aux dents. Tranquille, peinard, j’ouvre mon sac à dos en leur disant « pouvez fouiller les mecs, y a que d’la bouffe vue que les restos veulent pas de nous ».

Et là, trente secondes plus tard, j’avais le nez collé contre le mur, deux flics me fouillaient manu militari. Ma couche les a intrigué et sentir quelque chose de dur à l’intérieur encore plus. L’un d’eux s’est reculé d’un seul coup et a braqué son arme sur ma tempe en disant qu’au moindre geste j’étais mort.

- Tu caches quoi dans ton pantalon connard ?

Comprenant que c’était de ma cage de chasteté dont ils avaient peur, j’ai bien essayé de leur glisser doucement que c’était personnel. Essayez de demander de la discrétion à des flics, c’est inutile. Ils ne connaissent pas le mot. C’est vraiment un mot nouveau pour eux. Même si j’avais des envies de les fracasser, un flingue braqué sur soi, cela calme et motive pour donner des réponses claires. Par chance, mes copains étaient eux aussi malmenés par les bleus et n’ont pas entendu ma réponse. Le flic n’a pas hésité et m’a carrément palpé l’entrejambe à travers la couche.

Le flic brandissant mon cran d’arrêt m’a allumé grave, ses deux potos en costume m’ont embarqué comme si j’étais un terroriste. C’est à peine si j’avais les pieds qui touchaient par terre. Et là, dans le camion grillagé, je me suis fait un plaisir énorme : j’ai pissé dans un camion de flics. Il doit pas y en avoir beaucoup sur ABK qui peuvent se vanter de ça LOL. Bon, d’accord, j’étais quand même dans mes petits souliers, des baskets en l’occurrence.

Arrivé au poulailler, j’ai été conduit dans un bureau sinistre où il m’a été clairement indiqué que j’étais en garde à vue. Le flic m’a proposé pour gagner du temps de lui faire voir ce que j’avais dans mon pantalon. Comment dire.... ? Comment dire que j’étais gêné ? Pour éviter de gros soucis et la visite médicale sous contrainte physique, j’ai accepté. Ils avaient la main sur leur arme quand j’ai ouvert mon pantalon pour leur faire voir ma cage de chasteté dans une couche.

Rassurés et amusés, ils ont repris leur procédure : prénom du père, prénom de la mère et patati et patata...... Dans son procès verbal, mentionnant ma triste condition, j’ai tenu à ce qu’il indique que j’avais bien un saucisson et que sans un couteau, je n’aurai jamais pu le couper. Il en a convenu et l’a indiqué tout en me disant que je risquais d’être condamné. Après m’avoir fait retirer mes lacets, il m’a conduit dans une cellule où nous étions six.

L’HORREUR

Si la couche a tenu, et pour cause je n’ai plus osé boire. Dans l’après-midi, le flic est venu me chercher, m’a menotté avec des menottes même pas de chez ABCplaisir (MDR) pour m’emmener au tribunal pour une comparution immédiate. Le procureur a commencé par m’incendier avant de me donner la parole. Et là, pour limiter les dégâts, j’ai déballé toute la vérité, rien que la vérité.

- Monsieur le juge, je comprends que ma situation peut laisser à penser que j’étais venu pour me battre et être violent. Il n’en est rien. Si je porte une cage de chasteté qui n’est pas une arme, c’est parce que ma Maîtresse n’a pas voulu me l’enlever. Je ne peux le faire sans qu’elle me donne les clés, cela ne peut donc pas être une arme. (Rire du scribe, la nana qui tape sur son ordinateur). A cela se rajoute que le couteau que j’avais, n’était que pour couper le saucisson que j’avais dans mon sac et qui a été mentionné dans le procès verbal, indiquant son contenu.

- Et la couche ? A demandé le procureur amusé.

- Ben c’est parce que quand j’ai peur, j’ai des fuites urinaires. (Gros mensonge) Reconnaissez s’il vous plait que je n’ai pas le profil d’un casseur. Je suis innocent et surtout pas un criminel ou une personne agressive. C’était ma première manifestation.

- Bien, jeune homme, je vais vous charger d’une mission. Vous direz à votre Maîtresse que lorsqu’il y a une manifestation, elle vous garde avec elle et vous punisse pour de mauvaises intentions. Affaire suivante ! A indiqué le juge très amusé.

Le soir même j’étais libre, j’ai pu récupérer mon sac à dos et même la deuxième couche puis mon saucisson que j’ai mangé seul à la maison. Une semaine plus tard, j’avais un rappel à la loi sur la détention d’arme. OUF !

OUF mais les copains ont voulu savoir ce que j’avais dans le pantalon. Je leur ai indiqué de demander au juge.

...................

Ce texte est une fiction, je suis allé plusieurs fois manifester avec les gilets jaunes certes, mais pas à Paris et sans cage de chasteté ni couche.

TSM amusé qui a rebondi sur l’actualité et quelques fétichismes

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