Histoires érotiques

Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 17:34

La belle-fille surprise en plein selfbondage

Cette histoire érotique aborde les réactions d’un Maître découvrant que sa belle-fille fait du selfbondage puis des choses qui ne se font pas et méritent une fessée en plus d’une punition.

Suite à l’annulation d’un rendez-vous, mon après-midi de commercial était perdue. Ne pouvant rien faire de rentable de ce temps, j’ai décidé de rentrer à la maison. La voiture garée et le portail fermé, j’entre dans la maison et m’étonne que l’alarme de soit pas mise. Sur le coup, j’ai pensé que la fille de ma femme avait encore oublié.

Maud est une fille âgée de 23 ans qui se complait dans les études et qui trouve que vivre chez papa, maman est bien confortable..... Mais bon, c’est comme ça, j’ai pris la femme et la fille qui nous gêne quand même beaucoup dans nos activités intimes et BDSM.

Après avoir posé mon sac et mes clés, je me rends dans notre chambre pour me changer et enfiler une tenue adaptée au jardinage. Voir notre coffre à jouet BDSM ouvert puis une partie de nos accessoires et sextoys étalés sur le lit m’a surpris. Marie ne fait jamais ça, elle tient trop à préserver sa fille en lui cachant nos jeux ! Après réflexion, furieux, je pends les escaliers pour monter dans la chambre de Maud afin d’en savoir plus et surtout lui passer un savon car il ne pouvait y avoir qu’elle pour avoir fait ça !

Les clés de menottes récemment achetées sur ABCplaisir étaient posées dans le couloir. Elles sont facilement reconnaissables car j’ai monté un gros porte-clé dessus pour les trouver facilement dans la caisse à jouet. J’avance d’un pas décidé et les poings serrés bien décidé à incendier l’étudiante irrespectueuse. La porte de la chambre de Maud était ouverte, j’entre donc sans frapper et là, surprise !

Maud était quasiment nue, couchée sur le côté, avec un bandeau posé sur ses yeux, le bâillon bouche ouverte dans la bouche et les mains menottées dans le dos accrochées à une chaîne lui servant de string. Histoire de se donner un maximum de plaisir, cette garce avait aussi pris les pinces à sein qui faisaient un très bel effet sur sa poitrine généreuse.

Sa musique étant à fond comme d’habitude, elle ne m’a pas entendu arriver. Surpris, au lieu de l’incendier de suite, j’ai pris le temps d’apprécier ce spectacle érotique qu’elle m’offrait sans s’en rendre compte. La moquette étouffant mes pas, je l’ai contournée discrètement et, en m’approchant de son ordinateur, que vois-je ? Cette salope surfe sur Fessestivites avec notre compte !

Adieu notre intimité ! Mais ça, c’est la faute de Marie qui n’a pas fait attention et a enregistré le mot de passe sur le PC familial malgré mes mises en garde. Là, j’avoue que je suis de plus en plus furieux car elle a du voir les photos de sa mère en mauvaise posture.

La colère montant en moi a fait que je n’ai plus de remords ni ma retenue habituelle sur le respect de la discrétion et de la vie intime de la fi-fille délurée. Je consulte l’historique de son PC et constate que les photos de femmes soumises sexuelles et de selfbondage font parties de ses envies. Il n’y a pas que les photos d’ailleurs, elle a aussi regardé des vidéos y compris celle que nous avons postée et qui est réservée aux amis.

Sa putain de musique de malade crachant des insanités d’une vulgarité à faire rougir un régiment de parachutistes me cassant les oreilles, je la coupe et la regarde en me demandant ce que je dois faire. Maud a soudain peur, essaye de parler mais le bâillon ne l’aide pas. Pour commencer de la punir, je ne fais rien pour la rassurer et ne parle pas. Cette idiote tire sur les menottes comme si elle pouvait se libérer, réflexe bien inutile, les menottes d’ABCplaisir c’est du solide.

Je me lève de sa chaise de bureau pour aller chercher l’appareil photo. Maud se recroqueville et gémit en entendant mes pas en pensant sûrement que le « cambrioleur » pourrait avoir des envies.... Des envies j’en ai une oui, lui donner une bonne leçon de savoir vivre et de la punir. Une minute plus tard, quand j’entre dans sa chambre, elle n’a guère bougé, elle s’est rapproché des clés de la sortie en espérant ramper rapidement jusqu’aux clés. Sauf que les dites clés sont maintenant dans ma poche. Des photos j’en fais plein, de ses mûrs, de son bureau et surtout pas d’elle mais ça, elle ne peut le savoir. J’approche l’appareil de sa tête et le mets en mode rafale pour qu’elle entende bien le bruit.

Après avoir posé l’appareil sur son bureau, je retire le bandeau à velcro qu’elle n’a pas pu retirer en essayant de fuir. Ses yeux mouillés de larmes grands ouverts me fixent, je peux y lire l’angoisse et la honte.

- Alors salope comme ça, tu fouilles dans nos affaires ? Le respect de l’intimité des autres tu ne connais pas ?

Maud bouge les épaules en essayent de s’excuser mais avec le bâillon, si je comprends le sens de ce qu’elle veut dire, cela reste du yaourt.

- Et ça c’est quoi salope ? Tu fouilles le PC de la maison pour aller voir nos surfs et le navigateur pour aller y chercher nos mots de passe ?

La fautive se désespère et continue de pleurer. N’osant plus me regarder dans les yeux elle regarde la moquette, lui trouvant sûrement un grand intérêt. Je reprends l’appareil photo et lui fait croire que je prends quelques clichés de l’écran de son ordinateur.

- Que tu ais une vie sexuelle est normal. Que tu ais envie de faire du selfbondage je m’en tape, c’est ta vie et ton corps. Que tu fouilles dans nos affaires et notre intimité est un scandale. Je vais te laisser deux choix. Soit je te punis comme tu le mérites et crois moi tu t’en rappelleras toute ta vie, soit je dis tout à ta mère et lui fait voir les photos. J’ai fait aussi des photos de notre chambre avec tous nos jouets intimes posés sur le lit. Je vais te retirer le bâillon, cela te laisse le temps de réfléchir.

- Je suis désolée, j’ai honte, je suis une grosse conne, pardonne-moi s’il te plait ! Me demande Maud dès que je lui ai retiré le bâillon.

- Je te donne la punition que tu mérites et je garde ça pour moi en effaçant les photos ou je dis tout à ta mère et lui fait voir ce que sa fille a fait ?

- J’accepte mais ne lui dit pas, s’il te plait.

- Tu acceptes quoi ?

- Que tu me punisses....

- Que je punisse la vilaine fille ! Répète !

- Que tu punisses la vilaine fille ! Répond Maud d’une toute petite voix en baissant les yeux.

- Je vais te donner la fessée que tu mérites pour commencer !

- Nonnnn, pas ça..... supplie Maud.

Je l’attrape pas le bras et la soulève quasiment pour la coucher sur mes genoux pour lui donner la fessée méritée.

- Oh mais que vois-je tu t’es aussi mis le rosebud coeur de maman dans les fesses ! Mais putain, la gêne ne t’étouffe pas toi !

Et là, ma main et partie naturellement à la rencontre de son petit cul magnifiquement dessiné. Ce n’est pas une fessée plaisir ou érotique, non, ce sont de vraies claques appuyées qui s’abattent sur son fessier. Maud crie et essaye de mettre ses mains que je bloque aisément avant de continuer. En voyant la couleur de ses fesses devenir rouge foncé, je prends conscience qu’il est temps d’arrêter. C’est vraie que j’ai bien laissé aller ma colère sur le joufflu aussi joli soit-il. Maud pleure mais ne réagit plus. Aucune supplique et aucune demande de pardon ne vient conclure cette correction mais je ne peux lui expliquer qu’il est de tradition de remercier le Maître....

Comme elle ne me remercie pas,.... et ne s’excuse plus, l’envie de rajouter une petite touche de sadisme me vient. Je la fais glisser de mes genoux pour la déposer sur le sol. Son regard apeuré cherche à me sonder quand elle comprend que j’en ai pas terminé avec elle.

- Ne bouge pas je reviens !

Une idée m’a traversé l’esprit, compléter son selfbondage et rendre sa libération un peu douloureuse. Pour cela, j’ai besoin d’une chaînette et d’un cadenas que je vais chercher dans notre chambre. A mon retour, Maud n’a pas bougé, elle attend le verdict comme une condamnée. A la vue de la chaînette que je passe dans celle de ses pinces à sein, elle se met à supplier mais je n’en ai que faire. Je l’oblige à se pencher en avant et la fixe aux menottes de chevilles.

- Regarde, je vais être gentil avec toi, je vais remettre les clés où tu les avais mises et te laisser te libérer toute seule. Quand tu seras libre, tu prendras une douche parce que là tu pues la femelle, tu t’habilleras, tu iras tout ranger et viendra me faire un câlin. A partir de là, tout sera oublié. Amuse-toi bien !

Dans ses yeux, je peux lire la haine, mais la peur d’une autre punition lui interdit de formuler tout ce qu’il lui passe par la tête. Je la laisse donc en mauvaise posture en sachant qu’elle va déguster pour ramper jusqu’aux clés et qu’à chaque mouvement elle tirera plus ou moins sur les pinces accrochées à ses tétons.

Une heure plus tard Maud débarque dans le salon, ses yeux sont encore rouges, à mon avis pas autant que ses fesses que je n’ai pas épargnées.

- Je suis vraiment désolée, ce que j’ai fait est lamentable, je te demande de me pardonner. Murmure Maud les yeux baissés.

- Viens t’asseoir sur mes genoux, je crois qu’un gros câlin nous fera du bien à tous les deux.

- Tu me pardonnes ? Me demande Maud en appuyant sa tête contre mon épaule.

- Je pardonne quoi ? Il s’est passé quelque chose ?

- Ben je crois que tu as des photos qui le prouvent.

- Ah bon ? Je ne crois pas. Regarde toi-même !

Maud attrape aussitôt l’appareil et visionne les photos des murs de sa chambre.

- Mais tu ne m’as pas photographiée ?

- Non, te punir est une chose, t’humilier aux yeux de ta mère en est une autre que je ne ferai jamais !

- Pardon................... Crie ma belle-fille en se lovant dans mes bras pour me faire un câlin comme si j’étais son vrai père.

EPILOGUE

Maud et moi sommes devenus plus proches dans notre relation mais en tout bien tout honneur que l’on se rassure. Je lui ai proposé de me parler librement de sa sexualité que je pouvais comprendre en lui expliquant que mon but était de lui éviter les pièges et éventuellement de mauvaises rencontres. Elle était très gênée mais comme j’ai insisté sur le fait que je voulais juste être un garde-fou pas un censeur et encore moins quelqu’un qui la juge, elle a fini par accepter de me parler un peu.

Pour le selfbondage, je lui ai aussi proposé de m’adresser un texto codé quand elle en fait puis le même texto quand elle est libérée pour lui servir de sécurité. Ce qui m’a surpris le plus, c’est qu’elle le fasse et je me demande si elle n’a pas envie d’appeler à l’aide..... chose qui, finalement, me gênerait terriblement car c’est la fille de ma femme.

TSM

Scénario et idée de selfbondage

500 vidéos de selfbondage

Rencontres BDSM

Forum selfbondage

Matériel de selfbondage

Par abccharme - Publié dans : Histoires érotiques - Communauté : Mondes Libertins
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Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 17:30

Une histoire érotique de science fiction passionnante qui aborde divers fétichismes comme le BDSM, l’ABDL, la domination soumission 

« Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu ».

Cet email, Max l’envoie à tous ses amis d’Abkingdom et même sa famille en priant le ciel pour que l’on vienne le sauver. Le « windaube 10 » de son ordinateur a planté au plus mauvais moment. Si personne n’intervient dans les heures qui suivent, il risque fort d’être électrocuté.

Il a beau se battre avec son ordinateur, il n’y a qu’une infime partie des programmes qui fonctionne. Il a pu envoyer un email bien trop court. Il aurait voulu donner des informations supplémentaires mais, au moment où il voulait aller à la ligne pour expliquer sa situation, l’ordinateur a commencé à faire des bips. Max a donc fait partir son message incomplet en priant le seigneur pour que cela marche, que l’on vienne tant qu’il est encore temps.

Bloqué dans le microprocesseur, sa vessie a rendu l’âme, sa couche commence à fuir, il sait pertinemment qu’il ne pourra pas se retenir indéfiniment. Si son urine coule sur la carte mère, il y aura un arc électrique, ses molécules brûleront instantanément, sa vie s’arrêtera de la pire des façons : grillé !

Mais comment en est-il arrivé là ?

En 2021, les ingénieurs informatiques sont parvenus à téléporter un rat à travers la France. Envoyé de Marseille à Paris en quelques secondes, il n’a eu aucune séquelle de cette expérience.

En 2022, le gouvernement français et l’Europe débloquent des fonds colossaux, si la téléportation fonctionne, ce sera la fin de la crise pétrolière, de la pollution, des embouteillages et de bon nombre des accidents de la route.

En 2024, les premiers systèmes sont en vente sur le marché. Max ayant un gros salaire fait parti des premiers à s’équiper. Six mois plus tard, 20 % de la population a acheté la cabine et le système. En quelques minutes, on va de Londres à Paris, de Bruxelles à Marseille, des familles de retrouvent sans prendre l’avion, le train ou la voiture.

Dans le monde des rencontres, les choses évoluent également à vitesse grand V. On peut aller chez son amant vers 23 heures pendant que monsieur dort et revenir vers 1 heure du matin après avoir fait des galipettes. Ces évolutions touchent beaucoup de fétichistes comme le monde de la fessée, avec des fesseurs qui convoquent les « vilaines filles » en 3 clics, les Maîtresses qui convoquent leur soumis pour leur ménage et quelques punitions.

Les ABDL se retrouvent aussi en quelques clics, et c’est ce que Max a fait en fin de journée. Il s’est téléporté chez des amis DL qui le « dominent » par jeux. Lorsqu’il était chez eux, ils l’ont mis en couche et l’on fait boire deux énormes biberons d’eau avec un diurétique. Ils l’ont ensuite renvoyé chez lui avec son pantalon refermé par une chaînette et un cadenas à combinaison. Louise devait lui adresser la combinaison du dit cadenas vers 8 heures le lendemain.

Le soucis est, qu’arrivé chez lui, au coeur même de son ordinateur, au moment de reconstruire son corps molécule par molécule, son « windaube 10 » a planté. Il est donc virtuellement bloqué en couche dans son processeur. Etant en phase de reconstitution, ses organes et son cerveau fonctionnent, il ne restait plus au logiciel, qu’à lui redonner sa taille réelle dans le « décompresseur » installé dans son salon.

Sa couche commence vraiment à fuir, et, comme il n’y a pas de toilettes dans les ordinateurs, il risque d’être électrocuté.

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- C’est quoi cet email de ton ami d’enfance ? Demande Sam à sa femme ?

- Fais voir ?

Lorsque Mirabelle lit : « Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu », elle s’inquiète car son frère a encore du « déconner » avec son PC et sa nouvelle machine.

Pour s’assurer que ce n’est pas une blague, elle essaye de l’appeler sur son mobile puis sur son téléphone fixe. En vain, elle n’obtient aucune réponse. Elle lui adresse un email qui, lui aussi reste sans réponse.

- Qu’est-ce qu’on fait ? demande Sam ?

- On va aller voir ce qu’il lui arrive ! Répond Mirabelle.

- Je suis sûr que c’est une blague, ton « potos » nous ennuie.

- Peut-être mais je vais quand même aller voir.

La voiture de Mirabelle roule sans encombre, à onze heure du soir, les rues sont désertes. Lorsqu’elle arrive une heure plus tard devant chez son ami, sa voiture est garée dans son jardin. Elle sonne mais n’obtient aucune réponse. Elle tente encore en vain de téléphoner mais n’obtient aucune réponse. Elle prend son double de clés et entre chez son ami d’e n f a n c e, en criant « Coucou Max, c’est moi ».

Aucune réponse. Elle s’affole un peu, l’appelle encore en commençant à visiter sa maison en craignant le pire, qu’un accident soit arrivé. Il n’y a personne mais son sac est accroché dans l’entrée à côté de son téléphone mobile en charge.

- Max ne part jamais sans son téléphone ! Dit-elle à haute voix pour elle même avant de crier « putain tu es où, qu’est-ce qu’il t’arrive » ?

Affolée, elle retourne au salon et s’étonne de voir un paquet de couche posé à côté d’un pantalon et d’un slip puis un tee-shirt jetés sur le canapé. Par acquis de conscience, elle refait le tour de la maison, la salle de bain et les toilettes puis même sous son lit. Rien !

Mirabelle rappelle son mari, lui raconte que quelque chose ne tourne pas rond et lui demande de lui relire son email de détresse.

« Je vous en supplie, pouvez-vous venir m’aider et redémarrer mon ordinateur. Vous pouvez défoncer la porte ou une fenêtre, ce n’est pas grave mais par pitié, venez vite ma vie est en jeu ».

- Ben écoute, redémarre son ordinateur, il y a peut-être un message qui s’affichera. Lui répond Sam pressé de retourner voir son film.

Elle redémarre donc l’ordinateur sans en comprendre l’intérêt. Après tout, que risque t’elle a le faire. Lorsque l’espèce de cage en métal se met à clignoter, Mirabelle s’affole et part se protéger derrière le mur de l’entrée. De la fumée commence à sortir de l’ordinateur, elle se bouche les oreilles et ferme les yeux quand des éclairs de lumière illuminent le salon.

- Oh putain de windaube 10 ! Crie soudain son ami dans le salon.

Mirabelle passe alors la tête par la porte pour voir ce qu’il se passe. Max est assis par terre à moitié nu, il semble mal en point. Oubliant sa peur, elle se précipite pour lui porter secours, il la rassure en lui disant qu’il va bien en lui tendant la main pour qu’elle l’aide à se relever.

- Tu te travestis maintenant ?

- Quoi ? Demande Max.

- Ben sauf erreur, le brésilien en dentelle que tu portes ne fait pas très viril.

Max se regarde et constate avec stupeur qu’elle a raison. Pire encore, que ce n’est pas ses jambes et que ses ongles de pieds sont vernis ! ! !

- Oh mon dieu, qu’est-ce qu’il m’arrive ?

Mirabelle ne comprenant pas est pliée de rire, pour elle, son ami s’est amusé et s’est travesti. Elle se moque de lui en lui disant qu’elle est « belle » comme ça.

Max ne rigole pas, il est même particulièrement affolé. Il n’a plus son sexe ! ! ! ! ! Son sexe a disparu !!!!!!!!!!!! Il plonge sans hésiter ni gêne sa main dans le brésilien et découvre avec stupeur qu’il a un vagin à la place de son sexe. Mirabelle toujours pliée de rire lui dit qu’il pourrait attendre qu’elle soit partie pour se masturber. Pour l’arrêter dans ses moqueries et son fou rire, il baisse le brésilien pour lui faire voir son entrejambe dépourvu de sexe masculin.

- Mais qu’est-ce que tu as fait ? Tu veux devenir une femme ?

- Mais non putain, je ne sais pas ce qu’il m’arrive. Regarde mes jambes, ce ne sont pas les miennes ! J’ai une tronche de nana, franchement ?

- Eh non, mais qu’est-ce qu’il t’est arrivé en bas ?

- Je ne sais pas. J’ai fait de la téléportation pour aller me faire une nana que j’ai rencontrée sur le net ! Ment Max pour ne pas avouer la vérité. Et mon windaube 10 a planté quand je revenais à la maison. J’étais bloqué dans l’ordinateur et c’est pour ça que j’ai envoyé des emails de l’intérieur.

- Désolée mais je ne comprends pas tout de ton histoire. Tu me prends pour une conne ou quoi ?

Max explique à son ami qu’il s’est acheté le « téléporteur connecté » et qu’il a commencé à voyager comme ça. Il a même pu rencontrer des filles habitants à 500 kilomètres de chez lui avec cette nouvelle invention et revenir en moins d’une minute.

- Cela te fait quand même un très joli petit cul cette histoire !

-Arrête de te moquer de moi. C’est une vraie catastrophe. Je ne sais pas comment je vais pouvoir faire pour retrouver le bas de mon corps. Regarde de mon nombril jusqu’aux pieds, ce n’est pas mon corps. Il y a eu un bug, les molécules se sont mélangées avec celles d’une fille qui devait voyager comme moi. Elle doit avec mon sexe et mes jambes.

- Pour sûr, se retrouver avec une bite à la place de sa choune, cela va lui faire drôle LOL ! Cela doit être une expérience amusante ! Conclue Mirabelle en se remettant à rire.

......................................

Mirabelle repartie en son logis, Max passe une partie de la nuit à essayer de résoudre son problème, mais en vain, il ne trouve rien sur le net mentionnant ce genre d’incident. Devoir attendre le lundi pour prendre contact avec le SAV le traumatise. Anéanti, les yeux rouges, il va se coucher sans même penser à se tripoter ou mettre une couche. La situation horrible qu’il vit ne lui donne aucune envie de jouer à quoi que ce soit. Épuisé par toutes ces émotions, il finit par trouver le sommeil.

La lumière du jour filtrant à travers ses volets le réveille dans un lit trempé. Son premier réflexe est de plonger sa main entre ses jambes, non, ce n’était pas un cauchemar. Il est bien dans la m.... En plus, la fille à qui appartient le bas de ce corps souffre d’énurésie. Qu’elle horreur. Entre jouer avec les couches et être réellement incontinent il y a un monde.

Son café à peine avalé, il replonge sur le net à la recherche d’informations et surtout, en espérant trouver une solution. Ses amis DL l’appellent comme convenu pour lui donner le code du cadenas du pantalon qu’il aurait du porter sur sa couche. Quand il leur raconte ce qu’il lui arrivent, ils ne le croient pas.

- C’est trop gros ton délire Max, arrête tes conneries.

- Mais je vous jure, si vous voulez, on peut même faire une cam !

Aussitôt dit, aussitôt fait, Max allume sa webcam et leur fait voir qu’il ne ment pas. Encore une fois, on se moque de lui alors qu’il est désespéré. Ils vont même jusqu’à le traiter de « pisseuse ». Fou de rage, il leur raccroche au nez et coupe la cam.

Alors qu’il poursuit ses recherches sur internet, un liquide chaud s’écoule sur son fauteuil et le dessous de ses cuisses. « Et merde, je me pisse dessus » ! S’écrit Max avant de foncer aux toilettes. Si d’habitude il secoue sa verge pour faire tomber la goutte, là il est obligé d’utiliser du papier toilette. Alors qu’il vient de finir ses mixions, pour la première fois il regarde avec un intérêt coquin son entrejambe féminin. Ses doigts s’insinuent entre les lèvres et partent à la découverte de son vagin. Plus perturbé qu’excité, il décide de prendre une douche et découvre qu’effectivement, il a un très joli petit cul. « Enfin, elle a un très joli petit cul » se corrige mentalement Max. A peine sortie de la douche, il se met une couche pour surfer tranquille en espérant que l’incontinence soit un accident. Avant de se remettre à son ordinateur, il change ses draps et aère sa chambre.

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De l’autre côté de la terre, une fille désespérée est assise au bord d’un pont. Ce sont des passants qui interviennent juste avant qu’elle ne saute dans le vide devant un TVG. Emmenée aux urgences psychiatriques par la police, elle leur raconte son histoire de téléportation et de son retour particulier. A l’hôpital, ils sont habitués à voir des choses et les folies des patients. Ils lui ont retiré son pantalon et sa couche après avoir coupé le cadenas en disant qu’elle avait de drôles de jeu.

La visite médicale confirme ses propos. Elle n’est pas folle, elle a bien le haut du corps d’une vraie femme, sauf qu’en bas ......

En bas elle a un sexe d’homme, des jambes poilues et des fesses à faire fuir un régiment de retour de mission. Lina était fière de son corps et de ses jambes à faire damner un saint. Là, elle a du emprunter les chaussures de son frère pour sortir. A 20 ans, ce qu’il, lui arrive est bien plus qu’un cauchemar, c’est la fin de sa vie de femme. Elle a, tout comme Max, réalisé une téléportation pour aller voir son petit copain, un savant partit huit jours pour gérer des conférences en Australie.

........................

Ce n’est que vers midi que Max interromps ses recherches. Il n’aura pas d’autres choix que d’attendre lundi pour contacter le SAV de son « téléporteur connecté ». Sans raconter toute son histoire en détail, il a ouvert des posts sur des forums informatiques. On l’a pris pour un fou, un troll, d’autres lui ont dit qu’il allait pouvoir se faire bai....

Effectivement, la fille à qui appartient le bas de son corps a des soucis d’incontinence. Lorsqu’il tousse à cause du paquet de cigarettes fumé en un rien de temps, il a de petites fuites. La curiosité du coquin prend le dessus un instant sur la sérieuses problématique qu’est la sienne. Il plonge sa main dans la couche et repart à la découverte des sensations. Petit à petit, son majeur trouve la « bonne façon » de jouer avec le petit bouton des plaisirs féminins.

La couche gênant ses mouvements, il l’ouvre pour avoir plus d’aisance et partir à la conquête de nouvelles sensations. Max apprécie grandement les caresses circulaires, son majeur s’agite de plus en plus, et dans la dernière ligne droite, ressemble à celui d’un parkinsonien. Son corps est pris de tremblements puis, en bas, d’agréables contractions qu’il ne peut contrôler et lui font tourner la tête.

Essoufflé et en nage, il vient de découvrir le plaisir féminin. Sa gourmandise l’incite à recommencer, et, chose magique, cela fonctionne encore. La deuxième fois, au moment de l’explosion des sens, un jet jaillit de son sexe, mouille son bureau et ses cuisses.

- Mon dieu que c’est bon ! Murmure Max.

Bien décidé à en découvrir plus, il bondit presque de sa chaise pour se rendre dans sa chambre. De son tiroir à malice, il sort un petit gode acheté sur ABCplaisir pour quand il s’amuse avec une de ses copines pour se le mettre en bonne place. Il se l’introduit avec d’infimes précaution par peur d’avoir mal. Il n’en est rien, c’est même très bon, son chaton trempé par sa lubrification naturelle ne demande qu’à le recevoir. Cette fois, étendu sur son lit, c’est à deux mains qu’il se donne du plaisir en agitant le gode et en s’acharnant sur le clitoris. La vague plaisir arrive, elle monte lentement comme si elle partait de ses reins avant d’exploser dans son ventre et entre ses cuisses.

A bout de souffre après cette jouissance paroxystique, il abandonne le gode et, vidé de toute énergie, reste allongé sur son lit. Le gode toujours logé en lui s’échappe naturellement, générant encore des sensations devenant trop fortes.

- Ouahou les filles, quelle chance vous avez ! Murmure Max tout seul affalé sur son lit.

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Ce n’est qu’après un petit somme réparateur qu’il se lève pour reprendre ses recherches sur internet. Même si le plaisir féminin est merveilleux, Max est bien décidé à redevenir ce qu’il était : un homme entier !

Constatant que le lit est un peu mouillé, par sécurité il remet une couche. Le souci est qu’elles sont maintenant trop grandes pour lui. Plutôt que d’ajouter du scotch pour quelle tienne bien, il enfile son pantalon lui aussi devenu trop grand. Par chance, sa ceinture lui permet de résoudre ce problème de taille. Le frigidaire ressemblant au désert de Gobi, il décide de sortir pour aller s’acheter à manger.

- Et merde, mes chaussures sont aussi trop grandes ! Crie Max fou de rage.

Pour résoudre son problème de repas, Max commande des pizzas qu’il se fait livrer. Sortir comme ça n’est pas possible, il a peur que l’on remarque quelque chose même s’il met des claquettes trop grandes.

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La pauvre Lina se désespère dans sa chambre d’hôpital. Son frère a accepté d’aller chez elle et de fouiller son ordinateur. Promis, il ne dira rien aux parents et n’ira pas voir les dossiers photos. Après avoir passé des heures sur son ordinateur, il se résout à contacter Paul son petit ami le savant. Au départ, il ne le croit pas, lui demande d’arrêter de dire des inepties et de fouiller le PC de sa chérie en l’insultant de tous les mots peu courtois. Pour lui, ce qu’il fait est ignoble.

Devant l’acharnement du frère de sa chérie, il finit par accepter de lui téléphoner. Les larmes et la voix de désespéré qu’il entend au téléphone suffisent à le convaincre qu’il y a un réel problème. N’arrivant pas à joindre sa chérie sur son mobile, il appelle l’hôpital indiqué. Lorsqu’on lui passe Lina qui n’arrive plus à parler tellement elle pleure, il lui promet de prendre le premier avion et de la rejoindre.

Avant de partir d’Australie, il passe quelques coups de téléphone à ses amis en France. Deux ingénieurs et un architecte informatique puis un de ancien pot du CNRS se lancent dans des recherches pour collecter des éléments.

TROIS JOURS PLUS TARD

Le service SAV de la société « Téléportons » a remonté l’information à sa direction. Ils ont bien deux cas de défragmentation / refragmentation qui n’ont pas fonctionné. Ces gens ne sont pas de fous, Max a accepté de recevoir un des représentants qui ne savait plus où se mettre tant il était gêné. Paul, le savant ayant remué ciel et terre, la société monopolise toutes ses compétences pour au moins, essayer de comprendre ce qu’il a bien pu se passer.

Les domiciles de Max et de Lina sont investis par les techniciens. Leurs ordinateurs et « téléporteur connecté » sont démontés et emportés au siège de la société pour une étude approfondie.

La société « Téléportons » prend en charge tous les besoins de Lina et de Max. Ils leur font livrer des repas à domicile, leur offre un ordinateur à chacun pour leur permettre de ne pas être coupé du monde. En parallèle, ils contactent tous leurs clients pour leur demander de ne pas utiliser le « téléporteur connecté » qui pourrait être dangereux et si besoin, qui sera rappelé puis transporté à leur frais.

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CINQ JOURS PLUS TARD

La société « Téléportons » a trouvé où le bug c’est produit mais ne sait pas pour l’instant comment résoudre le problème. La médecine ne peut rien pour eux, il n’est pas possible de couper les corps en deux et de recoller les moitiés à chacun.

Lorsque l’avocat de Max a demandé à la société « Téléportons d’avoir les coordonnées de l’autre personne, cela lui a été refusé. Le simple fait qu’il leur dise qu’une simple annonce dans la presse lui suffirait à les avoir, les a convaincus de coopérer.

Lina qui accepte la rencontre est donc invitée à se rendre chez Max. C’est une limousine aux vitres tintées qui la dépose vers 21 heures, sa condition était qu’il fasse nuit pour ne pas être vue dans la rue. La chauffeur et la voiture attendaient plus loin pour ne pas attirer le regard.

Elle n’a pas eu à sonner, Max guettait par la fenêtre. Il lui a ouvert la porte immédiatement et l’a refermée aussitôt ne désirant pas être vu. S’ils n’avaient pas été vêtus, un passant aurait simplement pu imaginer deux personnes se retrouvant. Là, cette rencontre avait un but bien différent : faire se rencontrer « les moitiés ».

Bien décidée à mettre tout en oeuvre pour se faire pardonner, et surtout ne pas leur donner envie de se plaindre à la presse la société « Téléportons leur a fait livrer le repas par un traiteur et un carton de bouteilles de champagne grand cru.

- Bonsoir, je suis Lina.

- Bonsoir et bienvenue, je suis Max, comment va ma moitié ?

- Et la mienne ? Répond Lina en rigolant de cette façon de faire connaissance.

- Je suis ravi de faire votre connaissance malgré ces regrettables circonstances. Je vous sers une flûte de champagne ?

- Bien volontiers, je crois que j’en ai besoin plus que je n’ai soif.

Le service fait, le silence devient pesant, en fait, ils voulaient se rencontrer mais ne savent pas quoi se dire, se raconter.

- Vous pourriez prendre soin de mes pieds, le rouge à ongle ne ressemble plus à rien et marcher pieds nu n’arrange pas la chose. Dit Lina histoire de casser le silence trop pesant.

- Désolé mais je ne sais pas marcher avec des talons et encore moins vernir mes ongles ! Je dois avouer que je vous trouve très belle, j’aurai pu tomber sur une mamie. Finalement, dans mon malheur j’ai beaucoup de chance !

- Vous êtes aussi très charmant. Bon, le matin au réveil cela surprend en bas......

- Désolé mais je suis trop loin de ma moitié pour essayer de la contrôler. Pour sûr, en vous voyant dans le miroir de la salle de bain, mon bas ne peut rester de marbre.

- Je crois qu’il me faut une autre flûte de champagne car cette situation me gêne énormément. Lui dit Lina avant de lui indiquer que normalement, elle devrait avoir ses menstrues la semaine suivante.

- Je crois que j’ai aussi besoin d’une cruche de champagne ! Lui répond Max à deux doigts de s’étranger en comprenant ce qu’elle vient de lui indiquer.

C’est en consommant du champagne sans aucune modération en guise de courage, qu’ils abordent les problèmes de cette nouvelle vie que tout deux espèrent courte. La chance est avec eux sur un point, ils s’entendent à merveille, ils aiment tous les deux l’humour et ne sont pas farouches pour parler des choses de la vie.

- Je subodore que vous n’avez pas osé essayer, comment dire, la partie du bas qui est à moi ? Demande Max un peu « pompette ».

- Mais que croyez-vous ? Que les femmes n’ont pas de sexualité ? Qu’elles n’ont pas d’envie ? Et vous, qu’avez-vous fait de mon bas petit coquin ?

- Je crois que j’ai fait comme vous, j’ai essayé pour voir.

- Juste essayé ? Ne me mentez pas ! Allez, dites-moi tout, au point où nous en sommes, nous ne pouvons pas être plus intimes ! Lui répond Lina elle aussi un peu « pompette ».

- Ben, j’ai découvert que vous avez une immense chance de pouvoir jouir autant de fois que vous voulez ou presque.

- Et moi j’ai découvert qu’après avoir éjaculé, ben cela veut réellement plus marcher. C’est assez frustrant de ne pas pouvoir recommencer de suite.

- Et si nous passions à table ? Répond Max soudain gêné en se levant pour l’inviter à la cuisine.

- J’espère que vous ne m’en voulez pas trop pour les fuites urinaires. C’est vrai qu’avec l’énorme couche que vous portez, vous devez pouvoir tenir la journée. C’est quand même assez négligé comme façon de faire.

- Je n’ai pas trop d’expérience en la matière et je n’avais que ça sous la main. Répond Max rouge comme une pivoine.

- Vous n’aviez que ça ? Vous vous servez des couches pour quoi faire ? Demande Lina.

- Heu ...... J’aime bien en mettre la nuit, cela me rassure.

- J’ai quelques doutes sur l’honnêteté de cette réponse car vous êtes très gêné alors que moi je ne le suis pas. Quand on a un souci de santé, on fait avec, on apprend à le gérer. je suis sûre que vous me cachez quelque chose.

- Bon OK, je suis ABDL, j’aime bien jouer des fois avec des couches. Ca va, vous êtes contente ?

- Il n’y a pas de mal à se faire plaisir. Mais rassurez-moi, vous ne faites quand même pas tout dans la couche ?

- Non, non, juste pipi ! Répond Max toujours aussi gêné.

Le repas tout au champagne finit par avoir raison de leur pudeur. Ils se tutoient et s’envoient des vannes portant souvent sur le dessous de la ceinture.

- S’ils n’arrivent pas à résoudre notre problème, je ne pourrai jamais aller avec un homme. Je ne suis pas bisexuel et encore moins attiré par les hommes. J’ai bien peur d’être célibataire à vie et condamné à la masturbation. Avoue Max en servant le café au salon avant de s’asseoir dans le canapé à côté d’elle.

- Je suis comme toi, il n’y a que les hommes qui m’intéressent. On est mal barré tous les deux. Lui répond Lina.

- Après il ne nous resterait plus qu’une solution.

- Ah bon, laquelle ? Demande Lina.

- Nous mettre en couple.

- Ah, c’est une idée mieux que la mienne. Lui répond Lina.

- Moi j’envisageai de me jeter du haut de la tour Effel.

- Ah non, tu n’as pas le droit de faire ça à ma moitié. Lui répond Max horrifié.

- C’est vrai que ton idée de nous mettre en couple est bien meilleure que le grand saut. D’ailleurs, si tu n’y es pas opposé, nous pourrions essayer pour voir...... Lui lance Lina qui commence à s’exciter en s’imaginant des choses comme prendre une femme comme un homme.

- Heu, j’avoue que je te trouve très attirante et qu’en d’autres circonstances... mais là.... Répond Max très perturbé.

- Tu sais que cela n’est que ton propre sexe. Pas celui d’un autre homme. Conclue Lina en happant ses lèvres.

Les « deux hauts » s’accordent sans aucun souci, leurs mains gambadent à la découverte de l’autre pendant que les langues s’enroulent comme des serpents très joueurs. Lia a vraiment très envie de vivre cela au moins une fois. Elle sait qu’il n’osera pas si elle ne prend pas les choses en mains.

- Bien, allons prendre une douche, cela nous fera du bien. Lui indique Lina en le prenant par la main.

Très motivée, elle entreprend de le dévêtir lorsqu’ils entrent dans la salle de bain. Elle le dévore de baisers pour l’empêcher de parler. Un peu comme si une sorte de masculinité l’avait envahie. Lorsqu’elle entreprend de se dévêtir à son tour, Max perçoit quelque chose en bas, entre ses cuisses. Furtivement il glisse sa main et découvre qu’il mouille. Lorsqu’elle est nue et le rejoint sous la douche, il aperçoit son sexe tendu et gorgé de désir. Lina est bien décidée à ne pas le lâcher et à vivre l’expérience. Elle le caresse plus qu’elle ne le lave pour le rendre fou.

Tout penaud, il ose à peine la toucher, il a peur de toucher son propre sexe alors que ce n’est que le sien. La différence est grande quand il est sur un autre corps que le votre. Toujours décider à le v i o l e r s’il le faut, Lina caresse « son » entrejambe féminin, cet entrejambe qu’elle connaît si bien. Max perd rapidement la tête, il se laisse faire sans aucune possibilité psychologique de fuir. Conduit à sa chambre et presque jeté sur le lit, il devient la proie d’une furie. Elle le dévore de baiser et s’aventure même à titiller de sa langue son clitoris émergeant comme un bouton de rose.

La part de la féminité cachée en chacun pousse max à écarter encore plus ses jambes, à la laisser faire. Alors qu’il s’apprête à parler quand elle remonte du confluant de ses cuisses délicatement fuselées, Lina l’embrasse pour faire taire les éventuelles réfutations. Elle guide « sa » verge entre « ses » lèvres pour chercher la faille et s’y engouffre aussitôt. En sentant « sa » verge s’enfoncer en lui, Max ne sait plus gérer ses pensés contraires. D’un côté c’est très agréable, très bon, de l’autre très perturbant, même révoltant.

Lorsqu’elle entreprend des mouvement de va et vient, Max baisse les bras et muselle ses pensés masculines pour se concentrer sur les sensations divines éprouvées. Il se prend même à relever les jambes pour mieux s’offrir à « sa verge » tyrannique. « Tyrannique » car les sensations nouvelles quelle lui procure rasent toute gêne, le poussent à relever encore ses jambes pour mieux s’offrir. Il se met à couiner, puis à ahaner des « oui » sous ses asseaux de plus en plus virils.

Soudain, sa jouissance arrive tel un tsunami balayant tout sur son passage. Il perd totalement pieds, s’envole et crie un long « oui ». Son corps est pris de tremblements, ses muscles sembles bloqués quand ils ne convulsent pas. Au dessus de son visage, le souffle de Lina s’accélère en même temps qu’elle le serre de plus en plus fort dans ses bras et que ses coups de reins s’emballent.

Lina s’arrache soudain de lui puis remonte jusqu’à son visage en présentant « sa » verge à ses lèvres. Tant il est perdu dans son lâché prise, sans même réfléchir il ouvre la bouche et prend « sa » verge entre ses lèvres. Quand il prend conscience de ce qu’il fait, il est trop tard pour reculer, Lina s’est carrément couchée sur son visage. Elle éjacule dans sa bouche en grognant de plaisir. Il avale aussitôt « sa » semence pour la première fois de sa vie et garde « sa » verge en bouche également pour la première fois.

Lorsqu’elle se retire pour s’allonger repue contre lui, la première chose que dit Max très perturbé est « je viens de sucer un homme ».

- Non, tu viens de te sucer, cette partie de ton corps est à toi. Lui répond Lina avant d’ajouter ma chatte est très bonne !

- Ma bite aussi ! Lui répond au tac au tac Max

- Mon cul n’est pas mal non plus tu sais ?

- Heu, non, là c’est trop pour moi.

- On verra ça, on verra ça ! Lui répond Lina très taquine en l’embrassant.

- Et si on congédiait le chauffeur et que tu dormes là ?

- Je l’appelle de suite, tu as raison.

TROIS HEURES PLUS TARD

« Et merde, j’avais oublié ça » ! Pense Lina en se réveillant dans les draps mouillés. « On a oublié que je, enfin qu’il, pisse au lit.

UNE SEMAINE PLUS TARD

Les techniciens de la société « Téléportons » les contactent pour leur proposer un test. Max refusant de sortir de chez lui, les techniciens viennent installer chez lui un ordinateur et un « téléporteur connecté ». Lina est au siège de la société, ils vont tenter de les téléporter tous les deux en même temps en espérant que les corps de reconstruisent comme avant. C’est donc intégralement nus qu’ils entrent en même temps dans un « téléporteur connecté ».

Un compte à rebours est programmé pour que la téléportation se fasse aux deux endroits à la même seconde. Le corps de Max arrivent à la société et celui de Lina au domicile de Max comme prévu. Il n’y a aucun changement, chacun a toujours « le bas » de l’autre.

Les techniciens effectuent la même opération dans l’autres sens. Lina se retrouve au siège de la société, et lui chez lui. Hélas, cela n’a pas fonctionné. Lina s’effondre littéralement dans le « téléporteur connecté ». Elle pleure à chaudes larmes, « combien de temps va durer cet enfer » hurle Lina.

- Nous avons encore beaucoup de tests à faire, nous n’y arriverons pas du premier coup mais rassurez-vous, nous parviendrons à vous sortir de là. Lui assure l’ingénieur en charge de la gestion de cette catastrophe. J’ai d’ailleurs une idée, elle va prendre un peu de temps à mettre en place, mais j’ai bon espoir.

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La suite est pleine de rebondissements et c’est à vous de l’imaginer ou vous pouvez la lire ici en Kindel (ebock) ou version

Tous les livres de TSM sont ici

Par abccharme - Publié dans : Histoires érotiques - Communauté : Mondes Libertins
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Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 17:27

Piégé et humilié à cause du plus gros site de selfbondage du monde

Rêvant que sa femme le domine, un homme se féminise et fait du selfbondage avec des sextoys et une couche. Piégé suite à une erreur fatale, il sera humilié et va vivre bien plus que ses fantasmes.

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Je me suis fait piéger et humilier à cause du plus gros site de selfbondage du monde. Il y a tellement de vidéos, de photos, d’histoires érotiques et de scénarios en plus du forum sur Fessestivites.com que je n’ai pas pu résister à l’envie d’essayer.

Ci-dessous mon histoire

Ma femme étant partie à Londres pour deux jours, J’ai décidé de réaliser mes fantasmes sur la durée. Comme je n’envisage pas de tromper ma femme même si sexuellement elle est plutôt du style « bloquée », la seule solution est donc de m’amuser tout seul et en cachette. J’avoue que ma timidité et la peur de la perdre sont aussi des freins à l’envie d’aller voir une professionnelle ou ailleurs.

J’ai donc commencé par mettre de la lingerie féminine. Je me lançais comme défi d’aller acheter quelque chose avec des sous-vêtements féminins. A mon retour, c’était la fête à Popaul…. A la suite de quoi, j’ai aussi testé la cage de chasteté. Toutes ces photos et vidéos puis histoires érotiques de Fessestivites m’avaient donné envie de tester pour voir. Je n’ai jamais été capable de tenir plus d’une soirée avec la cage. Je me suis donc commandé un coffre électronique sur ABCplaisir pour parvenir à tenir 36 heures. La première fois que j’ai mis les clés dedans, j’ai plus regardé le compteur que les films....

Grâce à lui, j’ai quand même pu découvrir les sensations de frustrations éprouvées puis les sensations physiques. Je n’ai retirée la cage de chasteté qu’une demi-heure avant l’arrivé de l’avion de ma femme à Orly. Cette demi-heure est le temps qu’il me faut pour aller la chercher. J’ai donc été chaste jusqu’au soir où nous avons fait l’amour. J’ai honte de l’avouer, mais ce soir là, je l’imaginais en Maîtresse m’obligeant à lui lécher le chaton en plus des caresses avant de la prendre. Un goujat oui un peu, mais si elle était moins bloquée, je ne l’aurais pas été.

Au fil du temps et de ses voyages professionnels réguliers, je suis devenu bon client chez ABCplaisir. Je fais tout livrer en poste restante par sécurité, ce serait un véritable drame si elle ouvrait un colis à mon nom avec des sextoys. Rien que d’imaginer sa tête avec un plug et des pinces à sein dans les mains, j’ai peur !

Voir des vidéos et photos de mecs attachés en couche m’a aussi titillé. Je trouve que pour humilier un soumis, lui imposer de se faire dessus dans une couche est le top. Internet est mon ami, car aller acheter des couches dans un magasin était pour moi impossible. Là aussi j’ai testé pour voir. Sans un jeu de contrainte, je ne suis jamais parvenu à faire pipi dans la couche.

Pour parvenir à m’obliger à… j’ai donc fait une ceinture de chaîne à mon pantalon et j’ai mis les clés dans le coffre électronique. Là, je n’ai pas eu d’autres choix que de dire « amen » à ma timidité, ma pudeur, ma gêne aussi ! C’est ma vessie qui a gagné un combat qui fut rude, mais à l’impossible nul n’est tenu. Après deux jeux de ce style, comme j’ai bien aimé les sensations, je mets parfois des couches et une culotte en plastique sans faire de selfbondage. Une fois j’ai bien failli me faire piéger. J’avais jeté la couche dans la poubelle (logique) mais rien dessus pour la cacher. Elle aurait pu la voir quand elle a débarrassé la table. OUF !

La problématique du selfbondage, est que c’est comme une d r o g u e. Quand on y a goûté, on a envie de recommencer, de faire de plus en plus long et compliqué. On a envie d’ajouter des choses pour avoir toujours plus de plaisir. Des fois cela fait un peu mal, mais le fantasme aidant, la douleur n’est rien à côté des plaisirs éprouvés.

Pour corser les difficultés, j’ai commencé par additionner les sextoys et les conditions d’auto libération. Des ice-timer ( blog de glace emprisonnant les clés), j’en ai fait des tonnes en plus du coffre électronique contenant les clés de ma cage de chasteté. Pourquoi en faire plusieurs ?

En fait c’est simple et logique. Un exemple :

- Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient les menottes bloquées au lit.

- Un pour les clés des menottes que j’ai dans le dos

- Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient mes chevilles et qui m’empêche de marcher normalement. Quand on a une cagoule et que les clés du cadenas sont dans le garage, le déplacement est amusant. (Surtout quand on a envie d’aller faire pipi...)

ET, quand on est enfin libre, on va voir le coffre électronique qui affiche encore 12 heures d’attente pour pouvoir récupérer les clés de la cage de chasteté.

Au fil du temps, j’ai aussi ajouté des sextoys vibrants. Une paire d’œufs vibrants dans la couche sont attachés à ma cage de chasteté, des fois j’ajoute un plug vibrant derrière par exemple. Vibrer pendant l’attente cruelle est…. Hummm tout comme pendant que vous rampez comme un vers pour aller chercher des clés. Faire pipi couche attaché avec des trucs qui vibrent de partout est bien bon en terme de sensations, je vous recommande d’essayer.

J’ai joué aussi une fois avec le lavement. J’en fais toujours un avant de me mettre des trucs dans les fesses. J’ai lu une histoire érotique de selfbondage sur un mec qui s’était amusé avec ça. Après mon lavement, j’en ai fait un deuxième que je n’ai pas rejeté avant de mettre une couche et de faire un selfbondage. Si la sensation a été énorme quand j’ai craqué en rampant vers les clés, je n’ai pas aimé le résultat !!!! J’ai lu quelques temps plus tard sur le forum qu’il faut en faire plein avant de jouer comme ça, mais je n’ose plus.

LE DRAME DE LA SEMAINE DERNIERE

- Oui chérie, pas de problème, je serai à Orly au point de rendez-vous habituel. Tu m’envoies un texto en partant de Londres s’il y a un retard !

- Promis chéri, en plus, j’ai une surprise pour toi que j’ai trouvé dans un magasin informatique ! M’a répondu ma femme.

Après cet échange téléphonique, l’envie de profiter de ma dernière nuit et journée de liberté me taraudait. C’était son dernier voyage avant l’été, deux mois sans jouer…. : un de vacances + un où elle rentre tous les soirs puisque en août, il ne se passe rien d’important dans le monde de la finance.

Je voulais, avant cette pause, me faire une grosse compilation de délires. Un œuf vibrant dans les fesses en plus de mon dernier plug, une couche sous des sous-vêtements féminins et des collants et, dans la couche, un petit magic wand à pile qui titillerait ma cage de chasteté. Pour jouer un peu sur la douleur/plaisir, j’ai bloqué des pinces à sein dans le soutien-gorge avant de sortir les blocs de glace. Il était 22h30 quand j’ai arrêté de surfer les vidéos de selfbondage de Fessestivites.

Je ne sais pas si c’est la douleur aux tétons qui est la cause de mon erreur, mais c’est en plaçant les blocs de glace que j’ai « « merdé » » grave !!!!!!! Ne voulant pas tricher, je me suis donc pressé en me disant que la douleur allait s’atténuer.

Ci-dessous mon plan :

- Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à attendre couché dans le salon était accroché à la chaîne du pilier. Une fois fondu, j’allais pouvoir ramper.

- Les clés de mes menottes étaient dans la chambre d’amis. Une fois les mains libres, je pourrai chercher celles du cadenas de ma cagoule que j’avais suspendues au lustre du salon.

- Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à garder les pieds liés étaient dans le garage.

- Le cadenas électronique, (ma dernière acquisition) maintenait la chaîne utilisée en guise de ceinture à mon short. Même libre, j’allais devoir attendre presque mon heure de départ pour pouvoir retirer la couche et prendre une douche.

- Les clés de ma cage de chasteté étaient dans le coffre électronique, il ne s’ouvrirait qu’à l’heure de départ pour aller à l’aéroport.

Le plan était long et compliqué certes mais allait être grisant. Je pensais m’offrir trois heures de délire pour parvenir à me libérer de tout sauf de la couche et de la cage dans la dernière ligne droite c'est-à-dire midi.

Au début, grisant cela l’a été. J’ai du jouir dans ma cage de chasteté tant c’était fort quand j’ai fait pipi dans la couche avec le magic wand qui vibrait contre elle. Les vibrations de l’œuf dans mes fesses en même temps que les contractions sur le plug, sont sûrement la cause de cette jouissance qui m’a terrassé.

Le problème est que les sextoys n’ont pas d’intelligence artificielle ! Les vibrations ne se sont pas arrêtées et les pinces sur mes tétons sont restées en place après ma jouissance titanesque qui a généré des contractions et des spasmes pendant longtemps.

Tout cela commençait à devenir douloureux. J’ai donc envoyé les mains vers le glaçon, il n’avait pas fini de fondre. GRRRR. En me gelant les doigts, j’ai réussi à diminuer son temps de fonte. J’ai galéré un moment pour essayer d’ouvrir le cadenas de la chaîne. Impossible de faire rentrer les clés dans la serrure.

L’HORREUR

Après une heure de vaines tentatives j’ai compris mon erreur. Ce n’étaient pas les clés de ce cadenas. Elles étaient beaucoup trop grosses ! ! ! ! La première chose que j’ai fait, c’est de tirer sur mes entraves comme un malade. Sauf que les chaînes, c’est du solide et à part me faire mal, je ne suis arrivé à rien.

J’en ai pleuré de rage en pensant que tôt ou tard ma femme allait me découvrir attaché, féminisé et en couche avec tous mes délires. Ce fut bien pire !

Je commençais à avoir froid et mes tétons me faisaient payer le fait que cela durait trop longtemps et qu’à chaque mouvement, je les écrasais. Mes tentatives d’auto libération étant vaines, j’ai essayé de trouver une position qui ne soient pas trop inconfortable. Le froid cela donne envie d’uriner, je n’ai jamais autant pissé que cette nuit là. Si je n’ai pas vu le soleil se lever à cause de la cagoule, j’ai bien senti à la température ambiante que l’heure de ma condamnation avançait.

Quand j’ai entendu comme le glas, le bip du cadenas électronique maintenant mon short au dessus de ma couche, j’ai pu savoir l’heure. Il était 11 heures 30. Normalement, à cette heure, j’aurai du être libre, avoir déjeuné et être en train de prendre ma douche. Au lieu de ça, j’attendais couché par terre dans le salon sans rien pouvoir faire d’autre que de maudire ce putain de site fessestivites qui donne trop d’idées et d’envies. J’ai aussi maudit ABCplaisir car leurs menottes sont de trop bonne qualité.

Une bonne heure plus tard, mon téléphone portable a sonné plusieurs fois ainsi que le téléphone fixe. Même si j’avais une cagoule d’isolation BDSM d’ABCplaisir sur la tête, je savais qui s’acharnait ainsi pour me joindre.

……………………… ;

En désespoir de cause, Lisa a contacté son frère qui est un psychiatre aussi fou que ses patients. Pour ma femme, il ne pouvait que m’être arrivé un accident. Le docteur Maboule (c’est le surnom que je lui ai donné) a donc fait sauter sa pause déjeuner pour aller la chercher et la ramener à la maison.

Elle s’est mise à hurler quand elle m’a vu.

Elle s’est précipitée sur moi pour me serrer dans ses bras. (en écrasant mes pinces à sein)

Elle a incendié son frère qui ne faisait rien. (Même à travers la cagoule j’entendait tout)

Elle a essayé de me libérer en vain.

Elle a incendié son frère qui était plié de rire.

Les cris de ma femme se sont arrêtés presque d’un seul coup. Le docteur Maboule parlait et rigolait. Il n’avait trouvé pas très logique que des clés soient accrochées au lustre du salon ainsi que ma tenue un peu particulière. C’est lui qui a testé les clés qu’il avait trouvées sur tous mes cadenas et qui m’a retiré ma cagoule.

Le docteur Maboule a alors expliqué à ma femme ce qu’il m’arrivait réellement. A son cabinet, les patients lui racontent beaucoup de choses. Les explications de cet abruti ont été très médicales version psy démonté par trois boites de valium. J’ai du lui dire où se trouvaient les autres clés pour qu’il puisse me libérer, cette question a été la première dés plus gênantes.

Alors qu’il me libérait et que ma femme pleurait, le docteur Maboule a continué de commenter les fétichismes et mes jeux comme pour la rassurer. Je doute que cela l’ai convaincue mais ce que je peux affirmer c’est que Freud à côté de lui ne devait être qu’un débutant. Tout y est passé ! Mon besoin de me féminiser, cette part de féminité cachée qui .... puis la couche en référence à un soi-disant traumatisme de mon e n f a n c e.

Lisa ne pleurait plus, mais au fur et à mesure des savantes explications, son visage se décomposait. Elle semblait me prendre pour un extraterrestre ou un grand malade bon pour la camisole.

Comment ai-je pu vivre avec lui dix ans et me rendre compte de rien ? Fut une de ses questions récurrentes.

Le docteur Maboule s’est excusé de ne pas pouvoir ouvrir le coffre électronique posé sur le bureau du salon et de ne pas savoir à quoi correspondait les clés qui étaient à l’intérieur. J’étais encore féminisé, en couche assis par terre et très mal à l’aise. J’ai alors répondu « joker » en pensant que cela suffirait.

Lisa ne l’a pas entendu comme ça, elle s’est levée pour venir me secouer comme une malade en criant que je devais tout avouer et qu’au point où elle en était, plus rien ne l’étonnerait dans mes débilités.

- C’est pour ne jamais te tromper ma chérie !

- Tu te fous de ma gueule en plus ? A hurlé Lisa en m’envoyant une gifle d’une puissance que je ne lui connaissais pas.

Le docteur Maboule est intervenu sans tarder pour attraper sa soeur bien décidée à passer ses nerfs sur moi. C’est là que je leur ai annoncé que je portais effectivement une cage de chasteté par amour de ma femme.

Il y a eu un gros blanc et un gros mensonge.

Je lui ai expliqué que j’avais d’énormes envies sexuelles et que, pour ne pas me masturber en son absence, j’enfermais les clés de ma cage de chasteté dans un coffre électronique. Elle y a cru et le docteur Maboule aussi MDR. Il a même ajouté encore une fois sa science sur les besoins sexuels différents des hommes que certains cherchaient à contenir.

Le « frèro Maboule » rassuré nous a laissé régler cette histoire privée et intime (tu parles) pour retourner à son cabinet. je suis sûr qu’il est allé consulter un de ses confrères pour se remettre de cette aventure et qu’il a envie d’essayer tout ça si ce n’est pas déjà fait !

Lise, qui d’habitude est « coincée du cul » a tenu à m’accompagner à la salle de bain. Après dix ans de mariage, dans le couple la pudeur c’est, en principe, envolée. Sauf que là, j’étais très gêné. C’est donc devant ma femme que j’ai retiré le soutien-gorge en premier, ils n’avaient pas vu les pinces à sein. En me voyant souffrir comme jamais, elle a rigolé. Je peux vous affirmer que porter des pinces à sein douze heures, quand on les retire, les yeux coulent même si on n’est pas une mauviette.

Quand j’ai retiré les collants féminins, elle était aussi amusée et n’a pu se retenir de me dire que j’étais très belle comme ça. Lorsque j’ai retiré la couche, elle n’a pas aimé l’odeur mais elle est restée pour voir la cage de chasteté. Et là, elle a découvert les oeufs vibrants et le plug vibrant que j’avais dans les fesses. Son premier geste a été de mettre sa main devant sa bouche en me regardant comme si j’arrivais de la planète Mars.

Lisa m’a ordonné de retirer tout ça puis de me doucher et de rester nu pour aller la rejoindre. Si la douche fut salutaire à mon corps, tout comme un passage aux toilettes, dans ma tête je m’attendais à une demande de divorce ou à une obligation de soins psychiatriques ou les deux. Connaissant ma femme qui est connue pour avoir une main de fer dans les agences bancaires qu’elle dirige, puis aussi un peu à la maison, je ne savais pas à quoi m’attendre mais la discussion à venir ne pouvait pas bien se passer. C’est donc comme un gamin pris en flagrant délit et nu comme un vers que je me suis rendu au salon voir « la commandante ».

- Mets-toi à genoux devant moi ! M’a ordonné Lisa à mon arrivée.

- Pardon ?

- Tu as très bien entendu. Alors si tu ne veux pas que je demande le divorce en expliquant, bien sûr, les motifs à ta famille, il est préférable pour toi de jouer profil bas. Malgré les informations scientifiques de mon frère, il y a un certain nombre de choses que je viens de comprendre toute seule. Tu rêves d’être soumis et que je sois ta Maîtresse. J’aurai du me méfier quand, il y a quelques années, tu m’as parlée de ces fantasmes et délires, quand tu voulais m’attacher pour faire l’amour. En fait, tu voulais me donner envie de le faire sur toi. Vrai ou faux ?

- C’est vrai chérie que j’ai quelques fantasmes.

- QUELQUES ? M’a répondu Lisa en criant ! Alors tu vas tout me raconter de A à Z de ce qu’il t’est arrivé aujourd’hui en détail. Je veux vraiment tout savoir et que tu ne me caches rien.

- C’est très gênant chérie !

- Découvrir avec mon frère, mon mari attaché habillé en femme avec une couche et d’autres bricoles n’est pas gênant pour moi ?

- Si, j’en conviens et je m’excuse chérie. Pardonne-moi s’il te plait.

- Raconte-moi tout et arrête de m’appeler chérie, pour le moment ta chérie elle a envie de te mettre des baffes et de divorcer.

Aux pieds du mur, ou plutôt, ceux de ma femme qui avait l’air aussi aimable que le mur de Berlin en pleine guerre froide, j’ai donc dévoiler presque tous mes fantasmes et petits délires. Je lui ai expliqué que le selfbondage avait été une alternative pour moi, me permettant d’assouvir mes envies sans jamais la tromper comme font souvent d’autres hommes moins respectueux.

- Ah, tu as des informations aussi sur ça en plus de toutes tes idées aussi farfelues les unes que les autres ? Et tu sais ça comment ?

Et « Mer... » j’avais trop parlé. Je lui ai donc parlé de Fessestivites où j’avais vu des annonces de mecs cherchant à jouer en toute discrétion. Elle a voulu voir le site et que je me connecte avec mon pseudo. La première chose qu’elle a regardé ce sont mes messages privés. Comme il n’y en avait pas, elle m’a demandé si je les avais effacés. Ma réponse a été simple et convaincante : « comment aurais-je pu le faire en étant attaché » ?

Lisa a consulté l’historique de mon navigateur, puis demandé de lui faire un thé pendant qu’elle étudiait « tout ça ». Ma demande de me vêtir a été refusée, elle me trouvait bien à poil et se moquait royalement que je sois gêné. A mon retour avec son thé, elle m’a envoyé préparer le repas du soir. En clair, elle voulait surfer en paix.

- Met du champagne au frais ! M’a crié ma femme.

Alors que je mettais les petits plats dans les grands, que j’essayais de faire le meilleur des dînés que je n’avais jamais préparé, j’ai eu l’impression d’être observé. Lorsque je me suis retourné, j’ai vu ma femme appuyée contre le chambranle de la porte en train de fumer une cigarette, chose rare. Son regard amusé m’a à peine rassuré.

- Tu sais chéri, que tu as une femme qui est peut-être prête à écouter tes fantasmes sans les juger ? M’a lancé Lisa comme ça, comme si cette conversation était tout à fait normale avant d’ajouter que le tablier de cuisine mettait bien mes fesses en valeur.

Et là, elle a attrapé le tablier de cuisine et me l’a mis en me disant de nous servir le champagne et de la rejoindre lorsque mon plat serait dans le four. Autant dire que je me suis posé des milliers de questions. Brûlant d’impatience, je n’ai pas tardé à servir le champagne même s’il n’était que 17 heures. Vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur du bureau, elle a attrapé sa flûte en me disant « trinquons à notre nouvelle vie ».

- Bon, par où commencer ? Disons que sur l’ordinateur j’ai compris à tes surfs que tu ne cherchais pas à me tromper. La fonction recherche sur les forums m’a permise de découvrir que, d’après toi, les soumis avaient beaucoup de chance d’être malmenés par leurs Maîtresses. Que les Keyholder, mot nouveau pour moi, étaient considérées comme des reines et que tu en rêves. A partir de ce soir, je vais donc être une reine à tes yeux et garder les clés de ta cage de chasteté.

- Chérie, tu sais, entre les écrits fantasmagoriques et la réalité, les internautes écrivent...

- Ne me coupe pas la parole. Ce que je n’ai pas aimé lire DU TOUT, c’est que tu estimes que je suis une femme coincée et en plus, tu oses le dire à tout le monde sur ce putain de site ! Nonobstant le respect que tu me dois et la discrétion qui sied à mes fonctions professionnelles, tu oses également me décrire physiquement dans une de tes histoires érotiques en indiquant « ma banquière » est sévère. Ah tu rêves que je sois sévère, cela ne va pas être un problème, nous allons commencer par un mois de chasteté.

- Chérie, un mois c’est énorme, je ne tiendrai jamais !

- Mais si, il y en a qui sont chastes bien plus longtemps. Va me chercher tous tes jouets, j’ai bien dit tous, si tu en oublies ne serait-ce qu’un et que je le découvre, ce sera deux mois de chasteté. File !

Toujours à poil, hormis le tablier de cuisine, je suis donc parti chercher mes accessoires bricolés, mes sextoys et mes couches puis ma culotte en plastique avec les deux autres paires de collants. Dans ma tête c’était Hiroshima.

- Il manque le soutien-gorge ! A crié ma femme quand j’ai tout posé par terre.

- Il est dans le panier à linge ! Me suis-je excusé.

- Ma flûte de champagne est vide, est-ce normal ?

- Non chérie, je vais de suite en chercher.

A mon retour, Lisa m’attendait toujours vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur sans culotte et jambes écartées. Elle testait le petit magic wand et semblait le trouver à son goût. Mon coeur s’est emballé y compris dans ma cage de chasteté !

- Mais c’est bon ce truc ! Pourquoi ne m’en as tu pas parlé ?

- Je n’ai pas osé !

- Tu voulais le garder pour toi avoue ! Allez, fait-toi pardonner, j’ai envie de ta langue là ! M’a indiqué ma femme en désignant son intimité.

Jamais je n’aurai cru ma femme capable de cette attitude. Je la croyais coincée et là, elle se masturbais sous mes yeux. D’un claquement de doigts, elle a réitéré son ordre de lécher son intimité. Je me suis donc agenouillé pour oeuvrer comme demandé, en étant très gêné même si j’avais rêvé de cette situation. J’avais mon sexe sous cage de chasteté et ma langue jouait les phallus pendant que juste sous mes yeux, elle titillait son clitoris avec le magic wand massager.

Lisa a pris un pied d’enfer en plaquant ma tête contre son intimité chahutée et parfumée par son excitation qui me semblait démesurée. Comment se pouvait-il qu’elle s’éclate alors que pour moi, notre couple était sur la sellette. J’avais souvent rêvé de cette situation et là, elle ne me faisait rien, je n’avais aucune excitation.

- Humm, c’était bien bon, va me faire couler un bain, j’ai vraiment besoin de me détendre. Ensuite tu mettras la table avec des bougies. Nous allons fêter notre nouvelle vie.

EPILOGUE

Lisa est devenue gynarchiste, elle m’aime toujours autant mais autrement. Personne ne sait rien de notre vie, extérieurement, rien n’est affiché. Elle n’a pas souhaité que je l’appelle Maîtresse. Je suis sous cage de chasteté 24/24 sauf pendant les vacances ou quand Madame a des envies. Le côté ABDL ne la branche pas du tout, sauf la nuit.

Il faut que je vous parle de mes nuits !

Quand Madame a des envies, soit elle se fait brouter le minou ou me laisse la prendre, c’est aléatoire. Par contre, nous faisons chambre à part à cause de mes ronflements. Elle a instauré un rituel que nous fassions câlin ou pas. Tous les soirs sans exception, je dois aller me coucher dans la chambre d’amis où les entraves sont installées à demeure. Je dois me mettre en couche et m’entraver pour la nuit. C’est Lisa qui vient me libérer ou, le week-end, qui pose le cadenas électronique en calant l’heure de son petit déjeuner au lit.

Moi je vous le dis, nos femmes ne sont pas aussi prudes que nous le pensons !

TSM

NOTE DE L’AUTEUR

Ce récit est une oeuvre de pure fiction. Par conséquent toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

Scénario et idée de selfbondage

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Par abccharme - Publié dans : Histoires érotiques
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Vendredi 4 décembre 5 04 /12 /Déc 21:33

50 nuances de grey et moi

Corset_ABC_charme.com.jpg

Si le film 50 nuances de grey ne m’a pas plu, il a donné des idées et envies sadiques à mon mari. En résumé, j’adore même si le BDSM ne m’attire pas plus que ça !

Sur la boutique ABCplaisir.com nous avons fait quelques folies vestimentaires. Il m’a offert une paire de bas Leg Avenue puis un magnifique Corset Black "Evane" de la très prestigieuse marque "BOMBGIRL. Lorsque je suis ainsi vêtue, j’avoue que je dégage un charme fou qui ne peut laisser un homme de marbre.


Paul m’a demandé de me préparer avec ma nouvelle tenue pour une chaude soirée, lorsque je lui ai demandé quelle robe il désirait que je mette, sa réponse m’a surprise : « aucune, tu attendras au salon que je vienne te chercher petite chienne ».

Pour mon mari, ce vocabulaire peu élogieux rime avec partie de jambe en l’air à la maison ou avec des amis libertins rencontrés sur Fessestivites.com. Je savais donc à quoi m’en tenir pour la soirée mais j’étais loin d’imaginer qu’elle serait aussi chaude. Une heure plus tard, il est arrivé au salon avec le magnifique collier de soumise qu’il a trouvé sur www.ABCplaisir.com

 

Ses yeux brûlaient du feu du désir, je l’ai donc laissé me passer le dit collier de soumise puis me conduire à la chambre en me tenant par l’anneau permettant d’attacher une laisse. Arrivée à la chambre, je me suis crue dans un autre monde. Il avait mis des bougies de partout, puis déplacé la chaîne Hi-Fi qui diffusait une musique envoûtante et rythmée. Une claque sur les fesses m’a faite chuter sur le lit où, il m’a ordonnée de m’étendre sur le ventre.

 

Cet univers très tendance et glamour, invitait aux coquineries, la sensualité qu’il dégageait ce soir là m’excitait déjà beaucoup. Le contact des draps de soie avec ma peau très réceptive, m’a poussée à me cambrer pour lui offrir ma « croupe » comme il se plait à le dire.

 

Avec douceur, Paul a guidé mes poignets vers mon dos pour y poser des menottes. J’en ai déduit que ce serait une soirée BDSM sexe, mais j’étais loin d’imaginer que j’allais autant décoller. Ses caresses avec la musique et le parfum des bougies m’envoûtaient déjà, être menottée et offerte à ses désirs décuplaient mes sensations. Un clic et un mouvement du collier m’ont fait ouvrir les yeux, il venait de poser une laisse. En entrant dans le monde du BDSM, je passais donc de « salope » à « chienne », je ne sais pas vraiment ce qui est le mieux.....

 

Mon sadique d’amour s’est amusé avec mes sens, il tirait sur la ficelle de mon string pour titiller mon intimité en prenant tout son temps alors que je commençais à avoir envie de plus de virilité si vous voyez ce que je veux dire. Quand il a tiré sur la laisse pour que je me cambre plus encore, je n’ai pas vraiment aimé, cela n’a pas duré..... A genoux, jambes écartées, avec la tête sur le lit et les mains menottées dans le dos, mon intimité ne pouvait pas lui être plus offerte. Ses doigts taquins, dessinaient des chemins du haut de mes fesses jusqu’à mon clitoris qu’il ne faisait qu’effleurer. A chacun de leur passage sur mes lèvres et mon anus, je ressentais comme des décharges électriques, c’était divin.

 

Quand il est monté sur le lit, j’étais en manque de lui, de lui en moi, il avait préparé sa petite « salope », elle était prête à consommer. Au moment ou son gland a cherché la faille, je me suis cambrée encore plus pour mieux l’accueillir. Paul m’a pénétrée lentement et profondément, j’aime cette sensation de possession. Et là, il a tiré sur la laisse en me traitant de chienne pendant qu’il me baisait comme un forcené. Au mon dieu que c’était bon. En même temps que ses mouvements en rythme avec la musique, son index titillait mon étroit passage. Il voulait m’avoir toute entière, dans l’état où j’étais, il pouvait faire ce qu’il voulait de sa chienne, j’étais à lui.

 

Sa verge a quitté mon minou désespéré pour s’attaquer à mon petit cratère, grandement exposé de par ma position. Ce soir là c’est passé tout seul, j’étais prête ! Prête à tout, prête à tous ses désirs, prête à jouïr aussi. Je ne sais pas si c’est le collier, la laisse, les menottes, ou les trois, mais je me suis vraiment sentie chienne. Chienne en chaleur sans pudeur. A moitié étranglée par le collier, je me suis faite pilonner par un véritable marteau piqueur. J’ai décollé, crié, mordu les draps innocents en jouissant comme une malade.

 

Quand il s’est retiré puis à tiré sur la laisse pour me faire mettre à genoux par terre, j’ai pris sa position préférée. Mes yeux rivés dans les siens en gardant la bouche grande ouverte. Il se masturbait en sondant mon moi, son regard me rendait folle, folle de lui, folle tout court car j’ai gobé son sexe avec une envie de vorace. Il était dur, tendu à rompre, chaud entre mes lèvres puis, soudain, il s’est mis à me cracher son sperme qui était délicieux ce soir là.

 

Après avoir bien tout lécher pour ne pas en perdre une goutte, je me suis reculée pour voir ses yeux. Il était heureux, comblé et là, pourquoi ai-je fait ça? Je n’en sais rien, je me suis couchée à ses pieds.

 

Ecrivaillon

Réseau de rencontres BDSM

Boutique BDSM

 

 

 

 

Par abccharme - Publié dans : Histoires érotiques - Communauté : Mode lingerie de charme l'érotisme enchante
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Mercredi 25 novembre 3 25 /11 /Nov 17:46

Le contrat libertin d’un candauliste et d’un véritable amour

Mon mari est une perle, un véritable amour et un candauliste. Je n’ai jamais su si son fétichisme était réellement volontaire ou pour compenser les phénomènes liés à son âge. Pour ne pas le gêner, je n’ai pas osé lui poser la question. Quand on a une perle, on la bichonne.

Lorsque nous nous sommes rencontrés il y a vingt ans, j’ai eu le coup de foudre malgré nos différences d’âge. J’avais 21 ans, et Charles 42, il était beau comme un dieu avec un charme irrésistible. D’une grande courtoisie, il a su grâce à son métier de commercial de haut niveau me conduire où il voulait, comme il le voulait. La petite souris a été dévorée par le chat et ne le regrette pas, bien loin de là.

Depuis qu’il est à la retraite, il a un souci de santé qui l’oblige à prendre un médicament pour le coeur. Si sa libido est toujours aussi exacerbée par des heures de surf sur Fessestivites.com, il a de sérieux agacements au niveau de l’érection à cause de ses médicaments. Pour moi, son amour, sa gentillesse, ses talents et son savoir faire au lit compensent très largement ses petits problèmes sexuels. Je suis convaincue que c’est parce qu’il souffre de son Popaul bien souvent en panne qu’il m’a poussée au libertinage et au candaulisme.


Nous avons bien essayé le BDSM, mais ce n’est pas mon truc surtout que je ne suis absolument pas maso. Le seul BDSM qui me plait, c’est quand il m’attache nue dans le lit bras et jambes écartées pour me faire jouir comme une perdue avec son magic wand massager acheté sur ABCplaisir.com. Ce truc est vraiment magique, il arrive avec ça à me faire jouir un certain nombre de fois en un rein de temps.

Nous avons abandonné l’idée des clubs libertins pour nous orienter vers des rencontres plus intimistes avec les membres de Fessestivites, qu’il choisit et rencontre avant moi. Son souci de santé et ses médicaments font qu’il peine le soir à résister au sommeil. Au fil du temps, il a sélectionné des hommes chez qui je me rends seule pour les folies.

IL DECIDE TOUT POUR MOI ET MEME MES TENUES

Je ne sais pas comment il fait, mais les amants qu’il me choisit, qu’ils soient réguliers ou non sont toujours charmants et semblent respecter une procédure dictée par lui. A chaque fois, il y a un jeu nouveau et des plaisirs différents.

Pour les tenues, Paul ne manque pas de goût ni de finances, je pense que c’est aussi un moyen pour lui de vivre et de me faire plaisir. Il m’a pris un superbe panty Imagine" en dentelle brodée fait avec de très fines et douces résilles sur l'avant et d'une superbe dentelle sur l'arrière.

Des bas grosses résilles jarretières Dentelle DZ s’il vous plait pour habiller mes jambes

Une robe lingerie sexy Lorraine originale Beauty night noir.

Et des chaussures à talon magnifiques avec des brillants qui attirent les yeux des passants. Mon mari est assez fétichiste des chaussures, il ne freine jamais mes envies de folies quand il ne les devance pas !

Reconnaissez qu’il a du goût !!!!!!!!!!!

UNE SOIREE COQUINE TRES ORIGINALE

Je me suis rendue vers 21 heures à l’adresse indiquée avec mon manteau de fourrure pour masquer un peu ma tenue. Par chance, Paul avait programmé le GPS car je n’aurai jamais trouvé, mon sens de l’orientation étant plus que limité. Lorsque j’ai franchi le portail d’une maison bourgeoise ressemblant à un petit manoir, mon coeur battait la chamade. Les lumières du jardin se sont aussitôt allumées, quelques secondes plus tard, un homme vêtu très élégamment en Hugo Boss, mais en tenue décontractée, est venu m’accueillir devant la bâtisse.

Son sourire radieux et ses compliments sur ma tenue mon fait plaisir et décontractée, sa voix était suave à souhait. Après m’avoir conduite dans un salon d’au moins 100 mètres carré, il m’a aidée à me mettre à l’aise puis m’a offert une coupe de champagne de rêve sur du Emma Chapplin. Et là, j’ai découvert le scénario de mon pervers de mari que j’aime à la folie !

- Madame, votre exquise beauté n’est pas incompatible avec ce qui motive notre rencontre de ce soir. Je vous laisse lire le contrat que vous devez signer, mais vous n’êtes pas sans savoir que votre attitude est surveillée par votre mari par webcam via deux ordinateurs.

Charles me tendit un contrat se résumant à une page. Dans ce contrat, je cédais une paire de chaussures pour la somme de 5000 euros. La condition sine qua non était que le contrat, la négociation et la signature soient réalisés en webcam puis que je réponde positivement aux conditions requises dans une annexe inexistante et pour cause..... En clair jouer le rôle d’une pute !

Pour m’aider à faire passer la pilule, Charles m’offrit son plus beau sourire et une autre flûte de champagne. Il enchaîna sur son choix de la musique en m’indiquant que je pouvais choisir ce qui me plairait dans sa bibliothèque musicale. Sur ces mots, il prit son téléphone portable et téléphona à mon mari pour lui dire que son admirable épouse était bien arrivée, puis il me le passa.

 

- Ma petite puce, j’espère ne pas te choquer avec mon nouveau jeu, tu peux tout arrêter si tu les désires, retiens juste que ce n’est qu’un jeu et que je verrai tout puisque mon ordinateur va tout enregistrer via les webcam. Eclate-toi amuse-toi, je t’aime.

Sans me laisser le temps de répondre, Paul raccrocha me laissant songeuse, car le coup de la webcam était aussi une nouveauté. Charles me tendit la main avec élégance puis m’attira à lui pour déposer avec douceur de doux baisers dans mon cou. Sentant que je me relâchais, ses mains se firent plus aventureuses, mais sans aucune brusquerie. Malgré le jeu, il restait très soft et respectueux. Il chercha à m’embrasser, comme j’ai toujours un peu de mal à cela, il n’insista pas et entreprit de me peloter sans vergogne en me rappelant que Paul voyait tout. Cela mit le feu au poudre de ma libido.

Mes mains se firent à leur tour très coquines et s’orientèrent vers son pantalon dont la ceinture ne résista pas à ma fougue. Il se retrouva déculotté avant moi et, sans même qu’il ne me le demande, se fit dévorer le sexe par une gloutonne. Je le suçais avec conviction en regardant un des deux ordinateurs portables, à travers l’écran je voyais mon amour de mari.

La verge sembla apprécier mes attentions câlines et prit une certaine ampleur pour ne pas dire une ampleur certaine ! Quelques minutes plus tard, j’étais quasiment nue hormis mes bas et mes chaussures, je me laissais manger les seins et masser l’entrejambe à deux pas de l’ordinateur et de sa webcam. Ses doigts inquisiteurs maltraitant à merveille mon clitoris, je ne pouvais qu’écarter grandement les jambes pour répondre aux obligations du contrat !

Charles décida qu’il était temps de rentrer dans la partie hard de la négociation. Il tira le canapé et me fit pencher par dessus le dossier. Sur la table basse il déposa le deuxième ordinateur portable avec l’écran braqué sur mon visage. Il posa sur une chaise le premier avec l’écran orienté vers l’arrière du dit canapé. Et là, il partagea l’écran du second ce qui fit que j’allais voir mon visage et mes fesses pendant la chose........

Quelques secondes plus tard, son gland fouinait entre mes cuisses à la recherche de la grotte lui étant offerte et prête à l’accueillir. Il pénétra assez rapidement mon puits des plaisirs puis, chose que je n’avais pas vu, il passa autour de ma taille une ceinture qu’il referma pour m’empêcher de bouger. Une fois « verrouillée » il entreprit les « négociations du contrat » à la façon docker. Passé l’effet de surprise, me yeux se centrèrent un instant sur l’écran, et là ! ! ! !

Et là, pour la première fois je me vis en train de me faire baiser. Je voyais mes seins ballotter, mes mimiques, cela m’a terriblement surprise. Mes yeux se sont fermés pour devenir des écrans dans lesquels je voyais Paul me livrant en pâture. Le pire c’est que j’étais heureuse, soumise prête à tout pour lui et pour jouir, chose qui n’a pas tardé.......

Quand Charles a commencé à titiller ma petite rondelle étoilée, elle était déjà conquise avant qu’il ne la prenne. J’ai rapidement perdu pieds et martyrisé le canapé de mes ongles sous les coups de butoir de mon docker d’un soir. Je n’étais plus qu’un orifice à la recherche de son plaisir, c’était divin. Mon amant a fini par s’abandonner profondément figé en moi, en la loque humaine que j’étais devenue l’espace d’un instant. Il s’est retiré pour aller jeter le préservatif avant de revenir me mettre quelque chose entre les fesses. J’ai découvert en rentrant à la maison que c’était un rosebud en forme de coeur de chez ABCplaisir.com

 

L’élégance de Charles reprit le dessus, il m’aida à me relever et m’entoura d’un peignoir de soie avant de m’offrir une autre flûte de champagne après m’avoir tendu une chaise. Avec un grand sourire, il m’indiqua avoir signer le contrat qu’il déchira devant mes yeux avant d’ajouter : « vous êtes une femme extraordinaire, votre mari a beaucoup de chance ».

 

EPILOGUE

En arrivant à la maison, j’ai trouvé Paul endormi sur son fauteuil d’ordinateur. Je l’ai réveillé tout en douceur, il m’a dévorée de bisous doux en me disant que j’avais été géniale. Ce soir là, son Popaul fonctionna comme avant ses soucis de santé, il fut un mari extraordinaire et moi une femme comblée.

 

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